1. Lisa et les templiers de Los Angeles : Chapitres 1 à 3


    Datte: 30/10/2019, Catégories: f, fh, hplusag, extracon, médical, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, hdomine, Masturbation intermast, pénétratio, fdanus, occasion,

    ... général brutal, enculait rarement car sa brutalité provoquait un spasme du sphincter. Il lui rendait la pénétration douloureuse. Cette fois, par contre, la sensation était extraordinairement agréable et il la fit durer pour profiter d’une sensation dont il avait oublié le plaisir. Il entama un lent mouvement de va-et-vient qui faisait pénétrer sa verge de plus en plus profondément à chaque mouvement. Son plaisir était si intense, qu’il ne réalisa même pas qu’il pétrissait les seins de Monica avec une telle vigueur qu’on aurait pu le croire agrippé à deux bouées. Comme c’était sa seconde éjaculation, elle fut plus longue à venir mais il sentit très nettement monter le sperme en sa verge, dans des spasmes inouïs dont l’intensité augmentait à chaque coup. Ils lui arrachèrent des cris d’ogre qui vient d’avaler un énorme festin, et qui se terminèrent en un gémissement de plaisir lorsque la dernière onde fut passée. Sans oser se retirer, pour faire durer encore le plaisir de l’emprise à la fois ferme et douce autour de sa queue, il se pencha en avant, se coucha sur le ventre de Monica et l’embrassa dans le cou pour la remercier. Monica de son côté, ne finissait pas de jouir de son premier orgasme : elle n’avait jamais rien connu de pareil. Lorsqu’elle arriva à la jouissance, sous les coups de boutoir répétés de son patron, elle eut l’impression de s’envoler dans un espace de lumière indéfinissable, ni le temps ni l’espace n’existait plus, c’était la fusion complète avec son ...
    ... partenaire. Il est vrai que le véritable orgasme est un phénomène plus mental que physique, surtout chez la femme. Il est vain de croire vouloir l’y conduire, si elle n’est pas prête et consentante. Aujourd’hui, Monica était vraiment dans les meilleures dispositions : pour la première fois, elle faisait l’offrande, à son maître, à son dieu, de ce qui lui était le plus intime. À vingt-cinq ans, elle n’avait encore jamais connu l’orgasme. Elle s’était mariée à vingt ans, parce qu’elle pensait qu’il était normal qu’on se marie à cet âge. Elle avait rencontré son futur mari quelques mois auparavant, c’était un informaticien de cinq ans son aîné, il n’était pas moche, ils ont sympathisé, ont eu quelques rapports et puis se sont mariés. Sa vie sexuelle était assez simple : son mari, parfait égoïste sexuel, le soir en se couchant, lui disait simplement « j’ai envie de faire l’amour ». Monica se mettait alors sur le dos, pliait les genoux, écartait les cuisses. Il la couvrait alors, la pénétrait en s’aidant de la main, sans trop de difficultés car le désir qu’il ressentait, l’avait déjà mis en érection. L’intromission était le plus souvent pénible voire même douloureuse, car elle n’était absolument pas préparée mais fort heureusement, cela ne durerait pas longtemps. Il se soulageait rapidement et c’était fort bien ainsi car elle ne supportait pas trop sa mauvaise haleine. Elle comprenait alors, comment on devenait lesbienne car parfois, elle aussi, ressentait des besoins qu’elle soulageait ...
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