1. Lisa et les templiers de Los Angeles : Chapitres 1 à 3


    Datte: 30/10/2019, Catégories: f, fh, hplusag, extracon, médical, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, hdomine, Masturbation intermast, pénétratio, fdanus, occasion,

    ... Elle aurait aimé l’interroger, lui faire dire sa souffrance pour qu’elle puisse la prendre sur elle, l’en débarrasser. Elle sentait bien pourtant que ce n’était pas le moment : son patron était sur des charbons ardents. Bill Konsbrück avait déjeuné aux« Midis Culturels » qui se déroulaient une fois par mois dans un grand restaurant de Los Angeles. Il s’agissait de déjeuners-conférences toujours très intéressants. L’oratrice de ce jour, Lisa Sorrenti parla des associations templières dans le monde contemporain. Lisa Sorrenti était une archéologue, doublée d’une psycho-sociologue. Intellectuelle subtile et cultivée, elle était, en plus, une femme superbe : grande, brune, élancée, une tignasse foncée, ondulée. Le regard chaud de ses yeux noirs de jais ressemblait à des braises. Ses courbes et ses dimensions (90D – 75 – 95) laissaient rarement les hommes indifférents et provoquaient souvent la jalousie des femmes. Sans le vouloir, elle jouait de sa séduction en s’habillant en sexy chic. Aujourd’hui, elle était habillée d’un tailleur Prada rouge dont l’aspect un peu strict la rendait plus désirable encore. Sous son chemisier de soie crème transparaissait, soulevé pas ses seins généreux, un caraco où se mêlait le rouge et le noir, du plus bel effet sur sa peau un peu mate. Tout homme un peu averti, aurait vite repéré qu’elle portait des bas nylons noir, avec une belle couture rouge, bien marquée à l’arrière, et immanquablement tenu par un porte-jarretelles. Ils rehaussaient le ...
    ... galbe naturel de ses jambes fuselées, accentué par le port de stilettos vernis rouges à talons résolument hauts : un corps de rêve doté d’un esprit vif et brillant. Au Moyen-Orient, ses recherches sur le terrain, consacrées aux Templiers, l’avaient conduite à aborder le problème de la résurgence templière dans le monde moderne, sous forme de sociétés, d’associations, de clubs le plus souvent, si pas secrets, du moins très discrets. Elle avait découvert ce phénomène sur Internet. Avec beaucoup de talent, elle démonta le mécanisme de ces groupements, montrant combien ils étaient loin de la réalité, comment ils s’écartaient de la règle et de l’esprit Templiers, pour devenir surtout des sociétés secrètes, lobbies d’influence, parfois même avec des déviances sexuelles que rien, hormis les accusations qui avaient été jadis fabriquées contre l’Ordre pour le détruire, ne justifiait. Elle était loin d’avoir tort et Bill Konsbrück était bien placé pour le savoir : il était le Grand Maître d’une secte templière qu’il avait lui-même créée à Los Angeles. Le Dr Konsbrück, chirurgien émérite, avait de nombreuses cordes à son arc. L’un de ses hobbies était l’étude du Moyen Âge : les croisades et l’histoire des Templiers. Bill était aussi l’archétype du « macho flamboyant » : il affirmait haut et fort, la primauté de l’homme sur la femme, en qui il ne voyait qu’un être de seconde zone, essentiellement destiné au bon plaisir du mâle, aux tâches subalternes, aux corvées ménagères, à la conception ...
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