Dame Viviane - Histoires de Sexe

Dame Viviane

... place prudemment. — Une jolie robe de princesse et quelques beaux bijoux faits main peut-être ? suggéra la voix.— Hum… pas sûr ! Je tendis la main vers une arbalète, mais… — Tut ! Tut ! Mon cher monsieur, on ne touche plus. Un bon client n’est pas un client mort ou estropié. Oups ! Il devait finalement y avoir une caméra quelque part. Merde ! J’ai tripoté l’armure en plus. — Bien, monsieur Lemieux, je vous conseille des cartes-cadeaux, ce serait plus simple. Elle n’aurait qu’à venir et choisir ce dont elle aurait envie. Ça et de jolies fleurs et ses humeurs reviendraient sûrement.— Vous êtes la dame invisible du moyen-âge ?— Moi, mais oui.— Me parlez-vous de l’entreprise ?— Pardon ?— Eh ! Rien. Vous êtes une belle princesse ou une vilaine sorcière ?— Ni l’une ni l’autre, plutôt une belle grande guerrière, mais aussi une diseuse de bonne aventure et une magicienne.— Oh ! Vous pouvez apparaître, mystérieuse guerrière, sans me trancher quoi que ce soit d’important ? Je vais vous prendre de ces cartes-cadeaux et des petites choses. L’armure près du comptoir s’approcha et s’arrêta devant moi. Je déglutis malheureux. J’aperçus le reflet de mes yeux ronds et découragés dans le front du casque parfaitement poli. Doux Jésus ! Ce village-là était vraiment étrange. — Eh… Désolé pour les mains sur… eh… les…— Il n’y a pas d’offense, monsieur Lemieux. Protection totale là-dedans. D’un poing gantelé, elle se frappa un sein avant de soulever la visière et je pus voir des yeux sombres, ...

... magnifiques, soulignés de noir. Des yeux dignes des mille et une nuits. — Mais, tout à l’heure j’ai…— Une simple petite illusion pour m’amuser à vos dépens. Désolée, mais je n’ai pas pu résister, j’adore la magie.— Moi, c’est Paul, me présentai-je en tendant la main fasciné par son regard hypnotique.— Moi, c’est Madame la mairesse, fit-elle tout sourire en me la serrant à me l’écraser, Dame Viviane. Shit ! — Comment trouvez-vous ma nouvelle tenue de guerre ? Le maître armurier vient de la faire pour moi, m’apprit-elle en tournant sur elle-même. Elle est magnifique non ?— Superbe, madame la mairesse !— Je suis complètement nue en dessous.— Pardon ?— J’avais trop hâte de l’essayer, mais avec une robe, vous savez…— Ben oui et même pas de petits dessous finement forgés ? Joli rire envoûtant. — Même pas. Vu que nos conjoints semblent prendre du bon temps ensemble, en tout cas, c’est ce que tout le monde dit au village, si on en profitait nous aussi dans l’arrière-boutique ?— Wow ! Je n’ai jamais fait ça avec une guerrière en armure.— Mais peloter oui, mon coquin ! Nouveau rire charmant les yeux mi-clos. Les yeux à eux seuls valaient bien de faire une petite guerre, même à sablonde. — Je suis paré, gente dame, j’ai toujours mon couteau suisse sur moi. Encore un rire tandis qu’elle se dirigeait vers la porte pour tourner l’écriteau ouvert/fermé puis relevait le volume de la musique d’ambiance et je suivis la femme de métal déjà tout excité en fixant son cul miroir. Popa jubilait, petite ...