1. Tic ! Tic ! - 3


    Datte: 30/10/2019, Catégories: Humour, Lesbienne Mature,

    Histoire de fessesLes fillesMarie soupira longuement enlacer par son amie qui lui tripotait les fesses et elle avait un gros sourire et elle savait bien pourquoi.— OK, OK ! Revient ans de mon histoire de slip.— C’est trop drôle.— En tout cas, t’en profites ma tabarouette, murmura elle a l’oreille de ça meilleure amie qui frottait ses seins doucement contre les siens, de droite à gauche, de gauche à droite et c’était des plus agréable comme d’habitude, surtout quand leurs mamelons se croisaient, ça la chatouillait tellement. Marie sentait son sexe gonfler, ses grandes lèvres s’ouvrir et même son clitoris durcir. C’est tellement différent avec une fille, plus doux, plus sensuelle et l’odeur parfumée de Marie-France l’envoûtait. Elle faillit perdre la tête et l’entraîner au lit pour se jeter sur elle encore, mais... Paul l’intriguait trop. De peine et de misère elle dit, sans trop de conviction :— Lâche-moi... Paul est...— On s’en fou de ton Paul, fit Marie-France toute chatte qui n’en pouvait plus, allons baiser après tu me raconteras ton histoire de Maharadjah obsédé.— Tanto.— Je peux pas attendre... Allons nous étendre Marie.Marie allait répondre quelque chose, mais elle en eut pas le temps. Marie-France se hissa sur la pointe des pieds pour plaquer sa bouche sur la sienne, langue en avant et c’était trop bon. Ses lèvres sucrées, sa petite langue pointue qui bataillait avec la sienne, ses mains moites pressant ses fesses et elles les siennes, si petite et si ferme. La tête ...
    ... lui tournait.Marie-France frencha son amie avec vigueur, folle de désir en glissant un doigt sous les fesses de Marie jusqu’à toucher ça vulve qu’elle trouva, comme elle le pensait, tout aussi gonfler et humide que la sienne... Elle agita un doigt replié entre ses grandes lèvres et sentit Marie frissonner. Leurs seins se frottaient tout comme leurs pubis. Aucune autre femme ne l’allumait autant que Marie et elle savait que c’était réciproque. Marie se sentit fondre en la serrant plus fort dans ces bras, surtout avec le doigt fureteur qui s’agitait à l’entrée de son vagin, ouf ! Elle en avait des sueurs. Mais elle repoussa la langue de Marie-France jusque dans sa bouche et recula la tête en disant, en sentant des bouffées de chaleur l’envahir :— Tanto, pour l’instant c’est toi l’obsédée, la, je veux le suivre et... ouhhhhh maudit. L’index de son amie, mouiller de ses sécrétions vaginales, venait de rentré dans son anus, jusque dans le rectum et très facilement, en plus, et elle l’agitait la tabarouette. Marie serra les fesses par réflexe, le souffle presque coupé tellement ça l’agaçait. Sa vulve pulsa, elle mouilla terriblement en ressentant une envie folle de se faire pénétrer.— Seigneur Marie-France, fit-elle exciter au max, la voix cassée, t’es pire que Paul parfois. Maudit, sort ton doigt de mon cul.— Pourquoi, fit celle-ci les yeux vicieux, en le faisant aller et venir tout doucement, t’aiment ça d’habitude ? Tu me fais la même chose ? Allez, Marie, rentre-moi le doigt dans ...
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