1. La révolte


    Datte: 31/10/2019, Catégories: fh, hagé, extracon, vacances, plage, humilié(e), jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, pénétratio, confession, vengeance, extraconj,

    ... présomptueux, je l’aurais eue quand même. Je comprends que tu aies du mal à l’admettre, je suis ton ami. J’ai tout de suite compris que votre couple avait besoin de faire un break. Ne me demande pas pourquoi, mais je peux juste te dire que je m’y connais un petit peu. Là où on va, tu vas trouver de la compagnie et sans doute de quoi t’amuser. Tu devrais même en oublier de t’occuper de ta petite femme. Mais je t’en dis pas plus…— Et elle ?— Elle, mais… je m’en charge, voyons. Alors ma jolie Carole, tout est fermé ?— Oui Bob, en route pour l’Espagne. Elle est en jupette et débardeur. Elle s’installe devant. Je me retrouve derrière, sans surprise. Bob, sans doute pour me démontrer son caractère « amical », ne fait aucun geste déplacé et se transforme en guide touristique et nous commente les magnifiques sites de la Côte Vermeille. Port-Vendres, l’anse de Paulile, Banyuls, Cerbère, la frontière puis Port-Bou. Très vite on quitte la route pour emprunter un petit sentier où seul des 4x4 peuvent passer. Le pick-up s’enfonce dans la pinède et la rocaille catalane vers une petite crique ignorée des touristes le long de la Méditerranée. Après un parcours de deux kilomètres sur le sentier très caillouteux, Bob actionne un « bip » pour ouvrir une barrière. Au passage, je remarque une clôture qui semble électrifiée. Le lieu où il nous emmène semble bien protégé. — Dis-moi Bob, c’est un camp retranché où tu nous emmènes ? Si j’avais su, j’aurais pris mon casque et ma tenue de combat. (Je ...
    ... ris)— C’est le seul moyen d’être tranquille. Les touristes finissent toujours par débusquer des coins comme ça.— C’est à toi ?— Non, c’est à mon mécène.— Ouah, tu as un mécène ?— Eh oui, jolie Carole. Un mécène allemand. Il vit ici depuis 40 ans. Il a fait fortune dans l’immobilier. Je peux dire qu’une partie de la Costa-Brava est à lui. Mais ne vous inquiétez pas, il n’est pas snob du tout. Il adore les gens comme vous.— Il… il est là ?— Non François, mais je pense qu’on le verra ce soir. Mais lui il ne viendra pas en voiture. Bob a éclaté de rire. Je comprends que son… « mécène » devrait venir par la mer. Je n’aime pas ce lieu fermé qui pue le fric, pas forcément bien gagné. Carole, au contraire, est toute à sa joie de se retrouver dans un lieu désert et paradisiaque. En descendant sur la mer, on découvre la petite plage privée, mais aussi, une superbe villa avec piscine et, bien sûr, un ponton d’accostage privé. Je me demande pourquoi un type si fortuné laisse venir chez lui des gens ordinaires comme nous. — Alors, ça vous plait ? On n’est pas dérangé par les voisins ici.— Oh oui, Bob, c’est génial. Merci de nous avoir amenés ici.— Tu peux te mettre à l’aise, jolie Carole. Personne en dehors de tes hommes ne pourra entrevoir tes rondeurs. Je manque de m’étrangler en entendant « tes hommes ». Carole rit déjà sous cape et entreprend de se dévêtir afin de faire découvrir sa « nouvelle tenue naturiste » à Bob. — Et toi François, tu aimes cet endroit ?— Oui, c’est sympa, quoique ...
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