1. Chrisss en Guadeloupe


    Datte: 01/11/2019, Catégories: fhh, fplusag, vacances, plage, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe occasion,

    ... plus, et moi aussi ça m’excite de leur faire partager ma jouissance. De ses doigts libres, Didier cherche le chemin de mon petit cul, trouve ma rondelle délicate et avec une douceur surprenante, vu le contexte, la force doucement. Toujours accrochée au membre magnifique de Marc, je quitte ses baisers et me penche pour emboucher son gland congestionné. J’engloutis sa tête douce et soyeuse, la fait glisser sur ma langue, elle envahit toute ma bouche. On dirait un olisbos chinois en ivoire ou en marbre lisse. Je le tète, le suce, l’aspire, le masturbant de ma main libre. Il gonfle un peu plus à chaque succion, à chaque va-et-vient dans ma bouche, lui aussi laisse échapper des soupirs déchirants, je saisis ses testicules et les caresse, les malaxe doucement, l’effet est immédiat, son membre dans ma bouche augmente encore de volume. Je lui souffle alors comme une prière : — Prends-moi, viens dans moi, possède-moi, baise-moi fort. Didier qui a entendu, lâche alors mon sexe déjà endolori de toutes ses caresses et laisse la place à son frère qui, s’agenouillant entre mes cuisses, attrape son membre, le positionne entre mes lèvres et doucement force en avant. Je me redresse pour le regarder me pénétrer, avancer dans moi. Je le sens qui progresse, qui écarte mes lèvres, qui prend toute la place. Je suis envahie et j’aime ça. J’accroche mes mains à ses hanches et le guide, lui indique le rythme à suivre, la pression dans mon sexe. Et il vient et il recule et revient encore plus ...
    ... fort. Je l’encourage : — Oui, plus fort, encore, j’aime ça, je me régale, tu me régales. Je veux exprimer ce que je ressens, leur faire partager, nous sommes seuls au monde et je suis prise et offerte. Didier est remonté vers ma tête, et à son tour il prend ma bouche. Lui aussi je le veux, je veux me donner à lui aussi, sans retenue. Ses mains saisissent mes seins, pincent mes tétons, jouent avec eux ; il les suce, les agace avec la langue, puis se redressant un peu, il vient les caresser avec son membre, plus fin mais plus long que celui de son frère. Son gland frotte mes tétons, son visage est tendu, les mâchoires serrées, les veines du cou gonflées. Marc continue à me pistonner, violemment, il me replie les jambes, me maintient pliée, appuyé sur ses bras, il lance son ventre contre le mien, je sens ses couilles battre contre mon derrière, ça m’excite encore plus ; après un long moment à ce rythme, il s’arrête, sort son membre de mon sexe et le pose délicatement à l’entrée de mon derrière. Dans un réflexe, je lui souffle : — Doucement, s’il te plaît, doucement. Il se positionne contre mon œillet rose et, se guidant avec la main, pousse délicatement. Je sens sa présence, j’ai peur d’avoir mal, je crains et me crispe, mais son gland franchit ma rondelle, lentement, chaudement, je suis envahie par sa présence. De le savoir dans mon cul, sans douleur, me soulage, j’ai maintenant envie de le sentir tout au fond, qu’il me reprenne avec passion. Je l’encourage encore. — Oui Marc, ...
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