1. Pincesà linge et poids à couilles (2)


    Datte: 01/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Pendant la partie de Monopoly, quand il est devenu évident pour moi que les choses étaient mal engagées et que, pour tout dire, j’allais probablement perdre, j’ai revu notre première et unique étreinte à Jérôme et à moi. Au fond, si elle n’avait pas eu lieu, je ne serais pas là. Je suis resté ce soir, pour pouvoir faire l’amour encore une fois avec lui, sans m’abaisser à le demander, à l’implorer compte tenu du fait que j’ai été odieux avec lui après... pas très cohérent le garçon. Je me fait sauter, je l’engueule et j’y reviens ? On a tout de même sa fierté. D’accord, des excuses auraient été plus simples et une demande en bonne et due forme pour qu’il revienne dans mon lit plus élégante... mais voilà, je n’ai pas eu les couilles pour le faire, pour manger mon chapeau, ravaler ma fierté et mon orgueil; et puis, peut-être, je ne veux pas le laisser seul avec d’autres garçons. Jalousie ? Allons bon... je ne vais pas commencer à me poser des questions sur la nature de mes sentiments. J’en ai déjà suffisamment sur ma sexualité et ça m’occupe la tête à plein temps ces jours-ci. S’il s’était contenté de me bouffer le cul, les roustons et la bite, serais-je ici ce soir, proie offerte à ces gars excités ? Sans doute que non. Flash-back ! Mais il a fallu, ce fameux soir d’août où je me suis donné à lui, qu’il se retourne, qu’il se mette à genoux, me chevauche et s’empale lentement sur ma queue, sans que je dise rien, sans que je m’oppose. Il l’a fait si vite que je n’ai même pas ...
    ... réagi. J’étais trop bien. Sans gel, il s’est enfilé mon sexe dans son trou mouillé, tout doucement, avec résistance, et plus cela résistait, plus la pression sur ma queue augmentait, plus je trouvais cela bon. C’était étroit, j’étais serré, j’étais bien. Une fois descendu jusqu’aux couilles, il s’est mis à aller et venir de plus en plus vite, de plus en plus vite, toujours plus vite. Je râlais, immobile, le laissant tout faire, les bras étendus. Il s’est penché sur moi, m’a sucé les tétons (aucune nana ne m’avait fait cela non plus avant) pour mon plus grand bonheur et a dévoré mes aisselles poilues (encore une nouveauté, et pas plus désagréable que les autres. Décidément, il m’en apprend des trucs le cochon !). J’ai tout laissé faire, sauf quand il a essayé de me rouler une pelle. La je l’ai repoussé : pas de ça mon coco ! J’suis pas ta copine.... tu me fais du bien d’accord mais pas de sentiments, hein ? Tu es encore un peu trop masculin pour moi... mais, en lot de consolation, je lui ai demandé de me rebouffer le cul. Je me suis mis à quatre pattes pour mieux présenter la rondelle et qu’il puisse aussi lécher les couilles et toute cette zone que je découvre hyper sensible entre les deux.. Il s’est absenté un très court instant... ses pas dans le couloir, la porte de sa chambre... il revient. Je suis cul tendu, j’attends sa langue et elle s’agite à nouveau... hmmmm, si agile, si nerveuse si chaude si experte. Il tente de la pousser plus à fond et chaque fois, il m’arrache des ...
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