J'ai rencontré la patronne du magasin (1)
Datte: 10/09/2017,
Catégories:
Lesbienne
Salut c’est votre folle de lycra. Comme chaque année et comme tout le monde, je vais faire mes petites emplettes à l’occasion des soldes annuelles d’hiver. Fidèle cliente d’une grande enseigne assez généraliste quand même, je me promenais dans les rayons pour voir ce qui pourrait m’intéresser. Je trouvais plusieurs pantalons ainsi que plusieurs chemisiers fort à mon goût. Comme chaque année j’ai trouvé mon bonheur dans ce magasin, cette fois-ci une grande et belle femme d’environ quarante ans, brune aux yeux bleus; est venue me proposer ses services. Cette femme avait de l’assurance, respirait le raffinement, je ne pense pas qu’elle devait être vendeuse; ce n’est qu’après que j’ai su que Muriel était la responsable du magasin. Je fais un mètre soixante-dix-huit et je pense qu’elle me dominait d’un centimètre ou deux. Elle portait le parfum Angel qu’il m’arrivait de mettre aussi, j’adore ce parfum car il a un petit côté enivrant. Pendant qu’elle me conseillait, nous nous découvrions; c’est à cette occasion que j’ai appris son prénom, car ses collaborateurs sont passés plusieurs fois. Elle avait une autorité naturelle et surtout beaucoup de classe pour s’habiller; je ne sais pas si elle était redoutée, mais on voyait qu’elle était respectée. Manifestement nous avions les mêmes goûts vestimentaires, voilà pourquoi je me suis littéralement laissée guider par cette patronne. Ayant fait le plein de ce que je voulais essayer, Muriel m’a accompagnée aux cabines. Il y avait deux ...
... colonnes de cinq cabines dos à dos, la première rangée était celle qui servait le plus; la deuxième servait très peu, à tel qu’il y avait des cartons de vêtements dedans, exceptée dans celle du fond qui était vide et opérationnelle. Il n’y a pas à dire, j’allais être au calme pour mes essayages. La patronne avait poussé la serviabilité jusqu’à m’aider à porter mes vêtements, j’étais agréablement surprise. J’ai accroché les vêtements sur les porte-manteaux et le reste sur deux cartons superposés à l’extérieur. Une fois installée, Muriel m’a laissée pour aller vaquer à ses occupations; je me suis ainsi défaite de ma doudoune, ma jupe moulante, de mes escarpins et de mon chemisier satiné. J’étais en train de me dire que la patronne avait bien fait de me mettre là, car mon petit doigt me disait que risquais d’être longue. Une fois défaite de ma jupe moulante et de mon rose chemisier, il me restait sur moi tanga soutien-gorge et collant fendu; largement suffisant pour commencer mes essais. Les cabines étaient confortables avec de quoi s’asseoir, plusieurs porte-manteaux et surtout un superbe miroir pour que je puisse apprécier chaque tenue. La première jupe me serrait trop au niveau des fesses, le premier chemisier avec les manches qui bâillaient un peu trop à mon goût; au fur et à mesure de l’avancement j’avais fini par mettre les choses qui ne me convenaient pas sur les deux cartons à l’extérieur et ainsi ne garder que les choses que j’allais essayer ou celles qui me convenaient. ...