Résonance primitive 5
Datte: 01/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... doucement, les yeux dans les yeux. La position n’est pas des plus confortables mais le spectacle que nous nous donnons vaut l’effort. J’accélère. Mais très vite, cette fascination dans son regard, me rend complètement dingue, et m’oblige à revoir mes prétentions à la baisse pour ne pas jouir trop vite. J’aimerais la traiter de pute, de chienne, de salope, pour exulter et faire redescendre la pression, mais les mots ne sortent pas. Alors, avant la limite, je me retire d’un coup sans prévenir et la laisse ouverte aux deux bouts, étonnée et frustrée. Je me relève, la bite à la main, le regard fiévreux devant ce cadeau lubrique mal déballé. Son indécence est totale. Sa crudité m’inspire, et je sors l’appareil photo pour l’immortaliser plein cadre. Cette fois, elle se laisse prendre, complice. Puis, pour la rassurer, je lui dis ; - Ça va, je ne t’ai pas trop défoncé. Ça va vite se remettre. - C’est l’avantage de ta petite bite. La salope ! Elle en veut encore. - Tu veux de la grosse bite ? eh bien soit ! Je m’éclipse quelques instants et reviens avec le god-ceinture de Manon dans une main. Laure écarquille les yeux devant la taille de l’objet et semble vraiment craindre pour son cul maintenant. Mais sa curiosité l’emporte ; - T’as un god-ceinture ? T’aimes te faire prendre, ou tu compenses ? - Non. C’est Manon qui l’a oublié le weekend dernier. C’était pour l’essayer sur sa copine. Ces jeunettes sont d’une gourmandise… - T’as baisé cette petite salope ? Il y a une pointe de ...
... jalousie dans sa question, qu’elle tente d’occulter et qui me fait doucement sourire. Et c’est comme ça depuis la première fois où je lui ai parler de Manon. Serait-elle jalouse parce que je ne la baise pas ? Parce que je ne lui cède pas ? Jalouse du respect qu’elle imagine que je lui porte ? Jalouse de notre jeu de séduction qui s’éternise ? Les gens sont si compliqués parfois… - Non ! Je ne l’ai pas baisée cette petite salope, comme tu dis… Enfin, pas encore. - Parce que tu comptes la… Je ne la laisse pas finir et lui arrache un « Ah ! » du fond de la gorge, provoqué par le plaisir de la pénétration impromptue. - Qu’est-ce que tu en as foutre que je la baise ou non ! T’es pas venues pour ça ! T’es venue pour que je te baise. Pour que je te serve de boute-en-train, de premier étage de fusée, pour que tu puisses espérer t’envoyer en l’air avec ton futur. Elle accepte avec une facilité déconcertante le god que j’utilise comme une arme blanche, et que j’enfonce et ressors complètement de sa chatte, dans un bruit humide, limite obscène. J’y vais fort et vite, et me demande quelles sont ses limites, tout en sentant les miennes se dissoudre devant le spectacle cru de sa chair avide. Avide, c’est le mot, et je me sens aspiré, prêt à tout pour la satisfaire. Je pourrais lui mettre mon poing si elle me le demandait. En attendant, je lui présente le god devant la bouche, et la regarde tendre le cou comme un oisillon affamé pour essayer de le sucer. Je joue à le soustraire à sa langue ...