Une surprise de Noël
Datte: 03/11/2019,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
... en vous regardant ! Tu n’auras plus de vie dans la maison même si tu sauves ton poste… Et c’est ainsi que les trois s’étaient retrouvés un peu plus tard dans l’appartement du couple. Marion était entrée, s’était arrêtée, presque intimidée. — Déshabille-toi ! lui avait lancé Éléonore. Nue ! Tout de suite ! Marion avait voulu réagir : — Mais… et si je dis non ?— Tu aurais déjà pu dire non au moment où nous avons quitté la boîte, puis dans la voiture, puis ici en bas de l’immeuble. Si tu as accepté de monter, c’est que tu savais ce qui t’attendait ! Et tu en as envie ! Tu veux mon mari ? Eh bien je te le prête ! Maintenant, tu as toujours le choix, mais je suis sûre que la situation t’excite ! N’est-ce pas ? Alors Marion se déshabilla, regardant Éléonore qui la surveillait, mais aussi Fabrice qui s’était assis dans un fauteuil et dont le pantalon déformé montrait bien le plaisir ressenti à cette situation étrange. Maintenant, Marion allongée sur la table, Fabrice lui bouffait la chatte tandis que son épouse observait le tableau. Pour Marion, le regard scrutateur de la blonde au-dessus de son visage avait été un peu étrange au début, puis avait rajouté au travail de langue de l’homme une touche d’excitation due à l’exhibitionnisme. Éléonore se leva bientôt, contourna la table, s’approcha de son mari, observa sa technique. — Pas seulement de la pointe de la langue, mon chéri. Je sais que tu n’es pas trop à ton aise, mais tu dois faire un effort pour mieux la satisfaire. Écarte un ...
... peu plus les grandes lèvres avec tes doigts, maintenant passe ta langue à plat… Voilà, c’est bien… Et puis enfin, au lieu de lui lécher seulement le clito, prends-le à pleine bouche et suce-le… Imagine que je te suce la queue… Voilà, comme ça, c’est mieux. Effectivement, le niveau sonore de la satisfaction démontrée par Marion avait sensiblement augmenté en fonction des instructions données par Éléonore. — Je vais partir, je vais jouir, ah c’est bon, c’est trop bon…— Bien, nous allons pouvoir lui permettre d’y aller… fit encore la voix froide, presque clinique d’Éléonore. Celle-ci releva un peu sa jupe et fit glisser au sol sa culotte de dentelle. Puis elle s’approcha de Marion, saisit la main de celle-ci et la glissa entre ses propres jambes. Lorsqu’elle sentit que les doigts de l’autre femme l’avaient touchée dans son intimité et donc avaient recueilli l’humidité que la scène faisait naître dans sa fente, Éléonore ramena la main de Marion vers la bouche de la rousse. — Enfile-lui un doigt dans chaque trou et suce-la bien à fond ! ordonna Éléonore. Sitôt dit sitôt fait. Fabrice raidit son index et son majeur et les présenta simultanément sur les deux orifices de la femme qui s’écartelait devant lui. Il pénétra en douceur les deux anneaux et, de la langue et des lèvres, partit vers l’ascension finale. Au moment où Marion perdait totalement le contrôle de son corps, s’envolant vers le plaisir, Éléonore lui présenta à lécher les doigts pleins de mouille. Marion, hallucinée par ...