1. La fille aux gants de cuir.


    Datte: 03/11/2019, Catégories: fh, hsoumis, vengeance, Masturbation pénétratio, policier,

    ... l’ébauche d’un sourire sur le minois de la belle orientale. — Première nouvelle, je ne savais pas qu’un flic avait de la cervelle ! le railla-t-elle.— Petite insolente ! murmura-t-il. Il attira Cherifa contre lui et posa sa bouche sur la sienne. Lupino fut totalement galvanisé par la chaleur de cette fille contre lui, par ses rondeurs si féminines, par ce corps tout en muscles qui frémissait sous ses mains. Un vrai mustang ! Avec difficulté, elle réussit à le repousser. — T’es fou ! Ça va pas, non ? Dégage, tu vas avoir des ennuis et moi aussi ! protesta la jeune femme en étouffant son cri dans sa gorge, pour ne pas être entendue du voisinage. Pour toute réponse, Lupino l’enlaça à nouveau et, cette fois, entra la langue dans sa bouche. Surprise, Cherifa tenta à nouveau de le repousser, mais n’y parvint pas. Au travers des tissus, elle sentait le sexe dur et dressé du policier contre son bas-ventre. À bout de forces, elle s’abandonna à lui. Après un long baiser, il s’écarta enfin d’elle. — S’il te plaît, ne me fais pas de mal. Il prit le visage aux grands yeux implorants entre ses mains pour l’approcher du sien. — Bien sûr que je ne te ferai pas de mal. Tiens, prends cette petite carte… Viens chez moi, quand tu veux… Tu viendras, hein ? Il n’obtint pas de réponse, seulement un visage fermé, inexpressif. Lupino posa une seconde sa bouche sur la sienne, puis tourna les talons et quitta l’appartement. Une fois seule, Cherifa tourna entre ses doigts la carte de visite, lut ...
    ... plusieurs fois son contenu et y mit le feu. Avec un sourire énigmatique, elle regarda le carton se tordre dans les flammèches, au fond du cendrier jusqu’à ce qu’il ne fût plus qu’un monticule de cendres. 14 juin 22 :10 Cherifa estima que le policier devait avoir mariné assez longtemps dans son jus. En sortant du super marché, elle enfourcha son scooter et, au lieu de prendre le chemin de son ghetto, fonça vers les quartiers rupins. Son cœur battait à tout rompre quand elle sonna à la porte du pavillon de Lupino qui lui ouvrit en peignoir. Le visage de celui-ci passa en un clin d’œil de la plus grande surprise au plus parfait bonheur. Il la fit entrer et, à peine la porte close, l’attira contre lui pour un baiser passionné. À son grand étonnement, elle n’opposa aucune résistance et même, passa ses bras autour de son cou. Il fouillait sa bouche avec une ardeur passionnée, serrant ce grand corps contre lui. Le flic passa ses mains sous le tee-shirt et caressa la peau satinée et chaude de son dos. En route, elle avait fait une courte halte sous un abribus pour retirer son soutien-gorge et troquer son blue jean contre un short. Heureusement qu’elle avait une sacoche. Il s’aperçut de l’absence du sous-vêtement et Cherifa sentit à nouveau le sexe de l’homme, dur et long contre son bas-ventre. Lupino la serra encore plus contre lui pour sentir ses seins fermes contre son torse. Quand ils furent à bout de souffle, il s’écarta d’elle et contempla son visage. — Tu es belle ! Cherifa je te ...
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