1. Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (3)


    Datte: 24/06/2017, Catégories: Trash,

    ... plénitude. — Vas y baise moi mon chéri, encore. Encore. Elle a fini par s’écrouler sur le lit de tout son long. Je n’avais jamais vu ça. Elle n’arrêtait pas de dire qu’elle en voulait encore, qu’il la baisait tellement bien, qu’elle était toute à lui. Elle était allongée, lui toujours en elle, et la main d’Isabelle toujours sur mon visage. Karim lui a fait étendre les jambes, serrées, puis il s’est détendu lui aussi, tout au-dessus d’elle, et sa queue toujours en elle, il a recommencé à la limer ainsi. La main d’Isabelle m’a plaqué le visage sur le lit, je subissais les assauts de son amant autant qu’elle ou presque. Je sentais toute la puissance de cet étalon arabe en action. Il donnait de grands coups de bite, ses cuisses claquaient contre les fesses d’Isabelle, qui ne cessait de crier, de jurer, d’exprimer son bonheur. Elle a joui une nouvelle fois, Karim toujours en elle s’est écroulé sur elle, elle a tourné le visage pour l’embrasser, juste sous mes yeux. Ils sont restés de longues minutes comme ça, ou bien le temps me semblait juste tellement long, puis Karim s’est redressé et assis sur le lit, appuyé sur ses coudes, Isabelle a retiré la capote et l’a sucé, longuement. J’avais sous le nez, la croupe d’Isabelle, à quatre pattes en train de pomper « son chéri » comme elle n’arrêtait pas de dire. J’ai regardé Karim et qui m’a souri et qui m’a fait signe du visage de m’approcher d’Isabelle et de la lécher. Je ne voulais pas, je ne pouvais pas. Il a insisté du regard et ...
    ... j’ai cédé. Bien sûr je le voulais, mais je n’osais pas. J’ai fini par approcher ma langue et j’ai commencé à lécher, timidement d’abord, puis sous les gémissements de ma belle, qui étaient comme autant d’encouragement j’ai continué, je me suis appliqué. — Vas-y ma petite lopette, lèche la bien pendant qu’elle me suce. — Oui Karim. Elle était délicieuse, toute mouillée, je la goutais, et j’en revenais pas, quel pied. Les râles de Karim s’intensifièrent et je sentais Isabelle se contracter. Je me suis redressé et suis venu sur le côté du lit, je ne voulais pas manquer ça. Elle le branlait activement dans sa petite bouche, il s’est raidi et a joui. Il la tenait par les cheveux, ne l’obligeant pas à le garder en bouche parce que j’avais le sentiment qu’elle le voulait, mais la maintenant bien pour qu’elle avale tout. Ce qu’elle fit. Sans jamais le quitter des yeux. Elle s’est ensuite appliquée à bien nettoyer cette queue encore énorme, luisante, magnifique. Karim était écroulé sur le lit. Et moi je bavais. — C’est pas possible la quantité que t’as encore sorti là ? — Et oui ma belle, qu’est-ce que tu veux, je produis en grande quantité. — Tant mieux, parce qu’en plus il est très bon ton sperme. Les minutes sont passées, les deux allongés l’un contre l’autre à s’embrasser se câliner. Puis Karim m’a dit d’appeler mes parents pour qu’ils viennent nous chercher. Je l’ai fait, j’étais gêné, mais ma mère a semblé d’humeur très serviable. Isabelle lui a proposé de prendre une douche, il a ...