Dans le lit de ma meilleure amie
Datte: 04/11/2019,
Catégories:
Lesbienne
Masturbation
Première fois
... étendue dans sa baignoire. Betty venait juste de se faire couler un bain quand je suis passée la voir. Elle m’a reçu en peignoir et c’est elle qui m’a demandé de la suivre dans la salle de bain. J’ai pu la découvrir entièrement nue avec ses belles fesses rondes quand elle s’est glissée dans l’eau. Je me suis assise sur un tabouret et nous avons bavardé un moment alors que j’avais tout le loisir d’admirer sa superbe poitrine ainsi que sa vulve à demi épilée. Betty s’est lavée devant moi, passant le gant sur ses seins mais aussi entre ses cuisses sans éprouver la moindre gêne. Puis, elle est sortie de son bain, elle s’est séchée et elle est restée encore nue pour choisir ses vêtements et ses sous-vêtements alors que je l’avais suivi dans sa chambre. Quant à moi, j’étais de plus en plus émue et troublée par la situation.En quittant Betty, je me suis demandé ce qui m’arrivait. En fait, je n’ai pas mis longtemps avant de comprendre, partagée par des sentiments de honte et de culpabilité, que je la désirais, que j’avais envie d’elle. À partir de ce jour, les choses n’ont plus été comme avant. Pour moi, Betty n’était plus une simple et bonne copine. Je me suis efforcée de le lui cacher et de rester naturelle chaque fois que nous étions ensemble. Mais Betty savait, elle avait tout compris, tout deviné depuis cet épisode dans sa salle de bain. Elle m’a même avoué, deux semaines plus tard, qu’elle avait espéré faire l’amour avec moi ce matin- là. Car Betty était bi. C’était la seule ...
... chose qu’elle m’avait cachée.Il y a un mois, alors que j’étais chez elle, notre relation s’est transformée en passion amoureuse. Nous devions sortir pour faire des courses ensemble, au lieu de ça, nous avons fait l’amour pendant près de deux heures. Je me suis laissée embrassée alors que j’étais assise près d’elle sur son canapé. Je n’ai pas refusé sa bouche et partir de là, les choses se sont passés comme dans un tourbillon. Le visage rouge de honte et d’émotion, je me suis laissée entraîner vers sa chambre. J’avais les jambes comme du coton, incapable de réagir, incapable de dire non. En fait, je n’avais pas du tout envie de m’opposer à Betty, incroyablement excitée par l’idée de franchir cet interdit de l’homosexualité. J’étais toute tremblante quand Betty m’a déshabillée, commençant par me débarrasser de mon t-shirt et de mon soutien-gorge. Elle m’a embrassée à plusieurs reprises tout en caressant mes seins menus à pleines mains, les malaxant, les pétrissant et jouant avec les bouts. Au bout d’un moment, elle s’est penchée sur mon torse pour lécher et sucer mes pointes et elle m’a dit, d’un air amusé :-"Tu bandes comme un vrai mec ! Tes tétons sont aussi durs que des petites bites !"Elle ne pouvait pas s’en apercevoir encore mais moi, j’étais en train de tremper ma culotte tellement je mouillais. J’étais hors de moi et je me laissais faire, aussi docile qu’une poupée de chiffon. Puis elle a entrepris de me retirer ma jupe et mon slip. Je lui laissais toutes les initiatives ...