1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 04/11/2019, Catégories: f, ffh, Collègues / Travail volupté, photofilm, Oral init,

    ... se rappelait le goût de son amie et aussi ses réactions aux caresses et voulait la faire jouir à nouveau. Elle arracha donc Aline à son activité du moment et malgré ses protestations l’allongea sur le dos. Pierre et sa femme échangèrent alors un regard d’entente, et il redonna à Aline ce qu’elle venait de perdre, pendant que Mireille prenait possession de son ventre. Tout en se laissant pomper et sucer, l’homme avait repris possession des seins d’Aline. Celle-ci, assaillie de toutes parts commençait à gémir. Elle laissa de côté le sexe de l’homme et s’abandonna aux caresses qui lui étaient prodiguées avec tant de tendresse et de savoir-faire. La langue de son amie lapait entre les lèvres de son sexe, tandis que ses doigts caressaient l’entrée de son vagin, et même son œillet. Elle se sentait ruisseler de désir, elle sentait aussi la langue qui la fouillait recueillir la moindre goutte de sa cyprine. Aline fit signe à Pierre de s’approcher. — Ne la laisse pas tomber, caresse-la elle aussi, je veux que nous jouissions ensemble. Pierre déposa un baiser sur ses lèvres, et chargé d’une bien agréable mission se dirigea vers sa femme. — Laisse-moi un peu la place, je veux goutter moi aussi. Occupe-toi de ses seins et de sa bouche. Mireille obéit et s’allongea contre son amie. Pierre avait maintenant à portée de bouche et de mains les sexes des deux jeunes femmes. Il goutta d’abord celui de la rousse qu’il ne connaissait pas encore. Il en apprécia le goût sucré-salé, un peu ...
    ... sauvage. Puis il passa à celui de sa compagne. Il avait un goût un peu différent, un peu plus acidulé, presque un goût de violette. Il fit installer les deux filles l’une sur l’autre, ventre contre ventre. Il n’avait comme cela que quelques centimètres à faire pour passer de l’une à l’autre. Chacune des filles recevait alternativement des caresses. L’une avec la bouche et l’autre avec les mains et alternativement elles étaient sucées, léchées, fouillées d’une langue exigeante. Un tel traitement ne pouvait rester sans résultat bien longtemps. L’une comme l’autre déjà excitée par la position dans laquelle elles se trouvaient, chacune caressant le visage, le dos, les seins de l’autre, écartelées et fouillées par des mains habiles, elles approchèrent de leurs plaisirs. Simultanément elles crièrent leur bonheur, et ensemble elles mouillèrent le visage de Pierre de leurs jouissances. Il continua longtemps de leur prodiguer ses caresses, prolongeant leurs plaisirs autant qu’il le put. Puis il s’agenouilla entre les jambes ouvertes, et de son sexe dressé caressa les deux vulves offertes, déclenchant frissons et soupirs. — Dis-lui que je le veux en moi, chuchota Aline à son amie. Maintenant. Je suis prête. Mais reste sur moi, je te veux aussi.— Pierre mon amour, prends-la, elle le veut. Lentement le membre bandé pénétra la chatte rousse. Il ne pouvait aller très loin car la position n’était pas des plus favorables. Cependant ses mouvements de va-et-vient produisaient leurs effets. Mireille ...