1. 100 % blanche - 1


    Datte: 11/09/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... beaucoup de relations et tout cela a été arrangé. Mon époux est amoureux, riche et ambitieux. J’étais très utile pour sa carrière en tant qu’héroïne de la cause blanche, victime d’une métisse. Son parti s’appelle « cien por ciento blanco ». Un parti suprématiste blanc, bien entendu. On s’est marié et je l’ai aidé dans sa campagne pour la présidence du Santa Roja. Grâce à mon aide, il a été élu et à 19 ans je suis devenue la femme du président de la République. * Je me suis installée dans l'ancien palais colonial qui est devenu la résidence du Président, l'équivalent de la maison blanche. J’ai la vie dont j’ai toujours rêvé. Ce que je trouve grisant, c’est d’avoir du personnel. Ils sont colorés, bien sûr, et ce sont des esclaves. Mon mari, Juan, El Señor Presidente, m’a recommandé d’être ferme avec les domestiques. J’ai une femme de chambre, deux servantes et une fille de cuisine que je peux punir à ma guise… Je veux dire, si nécessaire. Le chauffeur et le jardinier échappent à mon contrôle. Il y a aussi des gardes du corps et des soldats. J’ai demandé à mon Juan : — En quoi consiste la punition du fouet ? Il est allé en chercher un et l’a mis sur mes genoux en disant : — De cinq à vingt coups sur les fesses et les cuisses… Je tenais le fouet qui fait environ un mètre et se termine par quatre lanières plates. Il avait servi, ça se voyait… Je caressais les lanières en imaginant leurs baisers brûlant sur des chairs rebondies… Euh, oui… je m’égare. Je lui ai demandé : — Et… on ...
    ... l’applique sur les fesses… nues ? Mon mari a d’abord éclaté de rire, puis il a répondu : — Mais bien sûr, ma chérie. Tu peux le faire toi-même ou demander à Ramón de s’en occuper, il est très adroit. Il suffit de dire à une fille « Tu vas aller chez Ramón ! » pour la voir pâlir. Autant dire les choses comme elles sont, rien ne m’a jamais excitée autant que d’imaginer Luisa, ma femme de chambre se faisant fouetter sur ses fesses nues. Je l’ai dit à mon mari, carrément : — Ça va te sembler… anormal, mais ces idées de fouet, ça m’excite. — Tant mieux ma chérie. Il y a quatre femmes ici que tu peux fouetter ou faire fouetter. Je sens mon vagin qui se contracte ! L’idée d’avoir le pouvoir de faire frapper une fille sur ses fesses nues, ça m’excite vraiment ! Juan continue : — Tu peux aussi demander des services sexuels aux filles, tu vois ce que je veux dire ? Je deviens toute rouge et bredouille : — Euh… oui, oui… Il me caresse la main en disant : — Ces filles nous appartiennent au même titre qu'un meuble. On n'abîme pas ses meubles, mais on en fait ce qu'on veut. Bon, j’arrête de poser des questions. Si les Sœurs entendaient notre conversation... Enfin, sauf Sœur Helena, bien sûr. J’ai hâte de voir comment ça se passe. Il me faut un motif car, bien sûr, je n’ai pas l’intention de punir « mes » servantes sans raison. Même si j’ai parfaitement le droit le faire. Il y a ma femme de chambre Luisa qui est une jolie métisse d’environ 25 ans, deux servantes et la fille de cuisine. On va ...