1. Amiens-Paris


    Datte: 06/11/2019, Catégories: fhhh, nympho, voiture, Oral pénétratio, fsodo, humour,

    À l’époque, j’avais l’habitude, le mercredi, de quitter Amiens pour Paris en faisant du stop. La semaine précédente, un diplomate du Togo m’avait pris dans sa limousine. Il m’avait même offert des boissons et, après avoir rallié son ambassade, il avait demandé à son chauffeur de m’amener exactement où je devais me rendre. Mais ce mercredi, tout va de travers. Il pleut. Une première voiture s’est arrêtée et le conducteur a redémarré en voyant l’état de mes chaussures, ce qui met toujours de bonne humeur. Je suis trempé et j’allais renoncer quand une R12 s’arrête. Je monte sans demander quoi que ce soit, trop heureux de me réchauffer ne serait-ce qu’un instant. Le conducteur sourit et les vitres sont embuées. J’imagine bien qu’il va à Paris. Une fine odeur de joint embaume ou empeste suivant les opinions. Je reçois au bout de quelques minutes un léger coup dans le dos. Il y a deux autres passagers. Je me tourne pour dire bonjour et je découvre un couple sur la banquette arrière. La fille délurée et dénudée est allongée ; elle me gratifie d’un sourire. Le garçon lui pratique un cunnilingus assez dévorant. Je n’ose en voir plus, ce qui amuse une fois de plus celui qui est au volant et qui me dit : — Mais zieute donc, t’en meurs d’envie ! Je lui réponds que je suis surtout surpris et je me retourne quand même pour voir à quelle étape nos covoiturés sont passés. Le garçon besogne désormais la toujours souriante personne, qui passe une jambe sur mes épaules. Je suis alors ...
    ... directement impliqué dans la partie. Ce qui me déconcerte un peu, c’est que celui qui conduit se plaît à faire des zigzags sur la route pour donner peut-être des sensations supérieures aux deux amants. Mais enfin, la chaussée est mouillée… Mais l’effet est garanti. Ils crient de conserve et j’entends des : — Oh oui ! Encore ! Fonce ! qui ne me rassurent pas du tout. Enfin, le gars éjacule et s’écroule dans l’euphorie générale. Oui, même moi, je suis content que tout se termine sans heurts. Le conducteur qui pleure de rire depuis que je suis monté dans la voiture, me dit : — À qui le tour ? Tu peux en profiter gratos ! Je suis assez réservé… Je ne connais pas cette demoiselle… Ma maman m’a toujours dit de ne pas coucher le premier soir… — Bon, alors je passe derrière ! déclare tout de go le rieur de service. Il me demande de tenir le volant de la main gauche, met la voiture au point mort et nous roulons doucement pendant qu’il escalade la banquette et que son copain fait le trajet inverse pour récupérer les commandes du véhicule. J’aurais peut-être dû accepter, parce que maintenant je risque ma vie. J’ai beau tenir ferme le volant, nous n’évitons pas une bordure. Je suis terrorisé. Le nouveau conducteur s’allume un pétard et nous voici repartis toujours sous cette foutue pluie. L’ancien est très excité et il claque les fesses de la fille qui rugit en protestant : — Donne-moi ça dans la bouche, je vais transformer le petit asticot en vipère lubrique ! Mon chauffeur me rassure : — Elle a ...
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