1. Dominique est amoureuse


    Datte: 06/11/2019, Catégories: ff, fplusag, jeunes, bain, forêt, amour, volupté, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme fdanus, conte, humour,

    ... fait-elle en agitant l’étoffe pour s’éventer.— Fais voir ! dit le garçon, l’œil attiré par la jolie vallée entre deux rondeurs blanches.— Et bien ! Veux-tu ! Ah non pas ça !… Enguy ! Trop tard, la tête a plongé vers son décolleté et les lèvres déposent de petits baisers dans cette fameuse vallée, et aussi sur les collines avoisinantes. La belle prend le parti d’en rire, le garçon se dit que ses affaires ne vont pas si mal et pose une main sur un genou féminin, comme une demande de permis d’exploration. Dominique lui saisit délicatement le poignet et le repousse. Peine perdue, il y revient, il est à nouveau repoussé, mais pendant ce temps les lèvres du garçon ont progressé jusqu’aux alentours immédiats d’un téton. Dominique se rassoit vivement, en chassant cette tête indiscrète : — Ah non, tu vois, tu n’es pas raisonnable ! Tu me prends pour qui ?— Bien, bon ! Qu’est-ce que tu veux exactement ? Dominique est déstabilisée par cette question, formulée sur un ton agacé, elle se dit qu’il n’est pas si benêt qu’il en a l’air, elle en conçoit même un début de respect pour l’homme qu’elle a aperçu, fugitivement, derrière le copain d’enfance. Comment jouer le prochain coup ? Elle se cache dans ses bras repliés, posés sur ses genoux, elle fait courir sur ses épaules de petits frissons qui ont exactement l’effet escompté : — Tu pleures ? Elle secoue la tête en dénégation. — Bon, dit le petit mâle, j’ai pas envie de chercher des heures à comprendre, je connais d’autres filles moins ...
    ... compliquées que toi, je rentre.— Tu ne vas tout de même pas m’abandonner ici ? glapit-elle, je ne sais même pas comment on sort de là ! Cette fois ce sont de vraies larmes ; son visage est désespéré ; Enguerrand a fait demi-tour et s’est rassis. — Écoute, Domi… Il a le ton radouci, plein de doutes et de questions, il ne sait plus trop quoi penser, elle va pouvoir reprendre la direction des opérations. — Je t’écoute…— Ben, pourquoi tu m’as amené ici, si c’est pour me faire cette comédie ?— D’abord, c’est toi ! C’est ton coin ! Moi, je voulais juste parler !— Alors allons-y, parlons. On va parler de quoi ? Elle s’est allongée à plat ventre, sans rien dire, boudeuse, la joue sur ses mains croisées. Il contemple sa nuque creusée d’un profond sillon, elle a relevé ses beaux cheveux bruns et brillants maintenus par un millier d’épingles, il ne reste que quelques bouclettes folles, puis, plus bas, ses épaules blanches au-dessus de son corsage arrondi. Et il trouve ce spectacle adorable, bien évidemment. Il pose sa main au creux des reins. Cela aussi est troublant ; à travers les vêtements, c’est un corps de femme qui frémit. Ce geste, les filles ne l’autorisent que pour danser, comme si cette circonstance constitue une dérogation. Il se fait la réflexion que c’est aussi un geste de propriétaire ; ainsi une femme qui accorde une danse accorderait-elle aussi un droit de propriété momentané ? Il n’a pas le temps de pousser plus loin sa pensée : — J’ai dit je t’écoute !— Je sais bien ce que ...
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