1. La copine de ma mère


    Datte: 06/11/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, poilu(e)s, odeurs, Oral hdanus,

    Tout d’abord je vais me présenter : je m’appelle Enzo, j’ai 25 ans, d’origine italienne, yeux verts, musclé car je fais pas mal de sport. Je suis en train de finir mes études et je vis encore chez ma mère. Bien que ce ne soit pas l’idéal, j’ai tout de même mon petit confort et ma mère est là pour me mijoter des petits plats, faire ma lessive, le ménage et tout ce qu’un jeune homme n’a pas le temps de faire lorsqu’il sort souvent, voit des amis et ne passe pas beaucoup de temps chez lui. Un jour où je rentrais chez moi d’une journée de cours, je trouvai ma mère en pleine discussion avec une de ses nouvelles collègues de travail. Je fus tout de suite attiré par le merveilleux regard de cette femme. Ma mère me présenta rapidement et comme toute bonne maman en profita pour glisser quelques compliments sur moi. J’allais tout de suite dans ma chambre pour réviser un partiel du lendemain mais c’était impossible, je n’arrêtais pas de penser à la collègue de ma mère qui était décidément une femme très charmante. Je dois avouer que je n’avais jamais été attiré par une femme mûre et que jusque là je m’étais contenté de filles de mon âge, rencontrées à la fac, en boîte ou dans la rue. Mais cette fois-ci je sentais envers elle une attirance très grande. J’essayais tout de même de me raisonner : "ce n’est pas possible, c’est la copine de ma mère, elle ne voudrait certainement pas" et de toute façon je ne voyais vraiment pas comment arriver à mes fins, ni dans quel endroit…. Je me ...
    ... contentais donc de penser encore un petit peu à elle : elle avait la quarantaine, de longs cheveux bruns, des yeux en amande, plutôt ronde avec des seins qui avaient l’air d’être encore assez appétissants. Après ce moment de rêverie, je me replongeai dans mes cours lorsque j’entendis ma mère qui m’appelait. — Enzo, pourrais-tu raccompagner Caroline en voiture, elle n’habite pas très loin mais il est presque 10 heures et je n’aimerais pas qu’elle se fasse embêter dans la rue. Une grande joie m’envahit à ce moment-là ! Ça y est ! J’avais ma chance de pouvoir passer un petit moment en tête-à-tête avec elle, il fallait que j’en profite pour lui montrer qu’elle me plaisaitt et au moins essayer une petite ouverture. — Bien sûr que cela ne me dérange pas, je ne vais pas laisser une charmante copine comme Martine prendre le risque de rentrer à pied, je préfère la raccompagner.— Tu es très gentil, me dit ma mère, je te mettrai un peu d’essence dans ta voiture.— Mais non, c’est bon, ne t’inquiète pas. Une fois sorti de la maison, je dois dire que je faisais un petit peu moins le malin parce que se retrouver seul avec une femme de quarante ans lorsqu’on a juste l’habitude des petites discussions sans intérêt avec des jeunettes, c’est beaucoup moins facile. Enfin, pour commencer, j’entrepris une discussion toute simple tout en comptant dévier par la suite. — Alors, comme ça, tu viens de rejoindre la boîte de ma mère ? Cela te convient ?— Bah, écoute, je viens d’arriver à Paris depuis deux ...
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