Mon couple bi (fiction)
Datte: 06/11/2019,
Catégories:
Première fois
Gay
Anal
... de l’un ou de l’autre dans la bouche ou dans le cul. On passait notre temps à nous toucher, à nous masturber, à nous pénétrer. On se serrait également l’un contre l’autre, comme les amants qu’on était, et on s’embrassait comme des ados.Ce n’est pas que je n’avais pas envie de me taper Eva, mais celle-ci était un peu plus exigeante, et fort fatiguée après le travail. Elle ne voulait pas qu’on baise tout le temps, mais quand elle en avait envie seulement. Nous, les hommes, on en avait envie tout le temps. Elle, quand elle avait envie, elle devenait le plus grand coup de la planète. Son sexe rempli de poils roux était le seul paradis que je ne pouvais jamais imaginer. Pour l’enculer, il fallait qu’elle soit vraiment de bonne humeur. Je me contentais parfois de juste la voir superbement habillée en revenant de son travail. « Ce que tu peux être belle et sensuelle », lui disait je souvent. Quand elle était flattée, elle m’embrassait à pleine bouche, et fourrait ma main dans sa culotte. « Ma chatte t’est offerte, mon chéri ».Ma relation avec elle était plus tendre. Le soir, dans le lit, je plongeais parfois ma tête entre ses deux énormes seins, et je m’endormais comme entouré des deux oreillers les plus doux de la planète.En dormant, je collais souvent ma queue entre ses fesses, sans la pénétrer, ou entre celles de Luc. De temps en temps, endormi, je faisais un petit mouvement pour m’introduire subrepticement, ce qui ne déplaisait pas à l’un et à l’autre. J’avais demandé en face à ...
... Eva, cela ne la dérangeait pas « si ça te fait plaisir, mon chéri ». Luc m’enculait aussi parfois la nuit. Je laissais faire. Quant à Eva, elle m’attrapait parfois la main et m’ordonnait de la masturber jusqu’à l’orgasme. Je ne pouvais refuser.Eva aimait beaucoup les mots doux. « Ceux-ci renforcent encore plus les mots durs ensuite », me disait-elle.Elle m’appelait « mon chéri », me disait « je t’aime tellement, mon petit chéri », « tu es un amour », pour ensuite me lâcher des choses comme « la pire des putes de la planète n’arriverait jamais aussi bas que toi, ma chienne. », pendant que je la pénétrais. Quand elle était dure avec moi, c’était le surnom qu’elle me donnait. « La chienne », « la suceuse », « le sac à foutre ». Je pouvais aussi l’insulter, et j’aimais cela. Je pouvais aussi lui dire des mots doux, mais je voyais que Luc n’aimait pas trop ça.On passa plus d’un mois à vivre ensemble, entre baises, mots doux, et nuits blottis les uns contre les autres. Bien sûr , il n’y avait pas que cela, on parlait culture, on cuisinait ensemble, on jouait ensemble. Mais le sexe était une pierre centrale de notre relation.Dès le départ, ils avaient été clairs.« Bastien – m’avait dit Eva- je te le dis encore, mais notre relation ne sera pas éternelle. C’est comme cela qu’on fonctionne. Celui que j’aime vraiment, c’est Luc. C’est mon mari. Toi, tu es là pour jouer. Je t’aime comme un jouet, tu peux m’aimer comme un jouet aussi, dans le respect. Mais quand on te dira stop, ce sera ...