Timie
Datte: 06/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... sentait se gonfler malgré elle. Les pointes étirées durcirent sous ses doigts. Elle avait beau essayer de se maîtriser, elle ne pouvait rien empêcher. Son corps la trahissait. L'ordre claqua :- Tire plus fort, qu'ils soient bien à l'horizontale !- Vers le haut maintenant !- Ne fait pas semblant de pincer, écrase-les biens sous tes doigts, sinon c'est moi qui vais les pincer, et là tu verras la différence. Timie, les larmes aux yeux, serrant les dents, obéissait. Ses seins étirés vers le plafond lui faisaient mal, mais comment ne pas obéir, la menace était d'importance…- Reste comme ça, je te dirai lorsque tu pourras arrêter. Monsieur resta ainsi plusieurs minutes à la dévisager et à profiter du spectacle. Il tourna plusieurs fois autour d’elle afin de profiter de la perspective qu’elle affichait sous tous les angles.Timie avait des difficultés à rester ainsi, la douleur était de plus en plus lancinante. Enfin, Monsieur se décida.- Le slip maintenant ! Maladroitement, Timie ôta son slip qui rejoignit ses autres vêtements par terre. Ses seins la lançaient, mais au point où elle en était, elle se sentait capable de tout… Elle ne portait plus que ses bas, son porte-jarretelles et ses chaussures, il lui dit de ne garder que ses chaussures. Elle croisa ses mains sur son ventre pour tenter de cacher ses poils blonds, sachant combien sa fente était visible…- Tu vois, ce n'est pas difficile. Mets donc tes mains sur la tête ! Elle n'eut pas la force de résister. Elle obéissait sans ...
... réagir à ces ordres, elle s'exécutait sans aucune volonté. Elle était nue, offerte. Ses bras levés la cambraient. Son ventre et ses seins étaient exposés sans pudeur. Les larmes aux yeux, elle serra les cuisses.- C'est fini, cette attitude de mère la pudeur ? Tiens-toi bien droite, jambes écartées, mains dans le dos et regard baissé ! Allez, obéis ! Résignée, elle prit la pose indiquée.- C'est ça. Voilà comment tu es : une femelle sans pudeur, que ça excite de s'exhiber à poil. Je n'ai pas raison ? Elle hésita. Il répéta sèchement :- Ce n'est pas vrai, madame l'hypocrite ?- Si… si Monsieur. Michel n'avait pas dit un mot. Il sortit de la chambre. Monsieur ordonna :- Accroupis-toi, cuisses écartées… montre ta fente. Je parie que tu es mouillée ! Il lui fit tirer sur ses poils, ouvrir ses lèvres intimes. Elle dut s'approcher et il se pencha.- Ta moule est toute brillante ! Montre mieux ton trou, salope ! Elle obéit, hoquetant de honte. Il avait raison, son ventre s'alourdissait, une humidité impossible à cacher ramollissait ses chairs. Et ses tétons dardaient, mauves et durs. D'autres ordres claquèrent, et elle exécuta tous les mouvements que Monsieur pouvait imaginer pour accroître sa honte et son trouble. Debout, jambes bien écartées, elle dut se pencher en avant, langue tirée, et s'écarter les fesses à deux mains, exhibant le plus secret de son intimité. Il lui fit mettre un doigt dans l'anus, puis deux, puis quatre. Il lui demanda d'écarter le plus possible afin de montrer ...