1. Deux roues pour une partie de jambes en l'air (1)


    Datte: 06/11/2019, Catégories: Lesbienne

    ... citadine. Et j’ai envie de rouler un peu. Alors dès que le temps se découvre, je file au village voisin faire des courses. Il y a un bistro-restau où nous sommes souvent allées. Les patrons et leurs deux filles nous connaissent et sont complices, un arrêt quasi obligatoire. Comme souvent ma moto intrigue et, même si je ne le cherche pas, devient un sujet de conversation. En plus une motarde, voilà de quoi exciter l’imagination de ces messieurs. La plupart se contente d’une gentille draguounette, mais deux insistent lourdement, insinuations graveleuses (si ils savaient!) et gestes déplacés. J’ai beau faire celle qui ne comprend pas, ils insistent. Les patrons sont trop affairés, je me demande comment calmer le jeu lorsque une femme attablée avec son mari intervient avec autorité et les rabroue vertement. Ils partent la queue basse - du moins je l’imagine. Un sourire de remerciement à la dame, je finis mon kir (en Bourgogne what else?) et au-revoir tout le monde. J’ai oublié quelques courses, j’y retourne le lendemain et reste ensuite pour déjeuner. Les lourdauds ne sont pas là. Quand elle apporte mon café, la patronne m’informe qu’il est offert par la femme de la veille. — Merci beaucoup, heureusement que vous étiez là hier! De vrais pots de colle! — Ce sont des idiots, pleins de préjugés plus vieux que leurs pères! Nous rions et je lui propose de prendre quelque chose en retour. — Volontiers, un marc. Je l’accompagne, nous causons de tout et de rien. — Tout de même, une ...
    ... femme à moto c’est rare par ici! Le patron remet deux marcs. J’espère que la maréchaussée ne sera pas de sortie, sinon, je suis bonne. — Ca vous ennuierait de m’emmener faire une balade? A 45 ans je n’ai jamais essayé. C’est direct, mais peut-être je me trompe. — D’accord, mais il faudra obéir… à la machine. — Pas de problème. Et puis à mon âge, le coup de la panne… On rit encore ensemble. Le temps de lui trouver une veste et le casque d’une des filles de la maison, nous voilà en route. Il fait bon, la route est lisse, le moteur ronronne. Ma passagère est collée contre moi, avantage d’une selle courte, sa chatte contre mes fesses, j’adore. Contrairement aux néophytes, elle ne cherche pas à redresser la moto dans les virages. Sa tête est posée sur mon épaule et puis… il y a ses bras croisés autour de mon ventre, avec ses mains qui insensiblement remontent sur mes seins et profitent des virages prononcés pour y appuyer. Soudain: — Prends le petit chemin à droite! Au bout, il y a une cabane. A peine arrêtées, elle descend, ôte son casque et ouvre. Quand je rentre elle n’a déjà plus sa veste et se jette sur moi en me roulant une gamelle d’enfer, la main direct au panier! Les yeux dans les yeux, je lis dans les siens une sacrée détermination. Voilà qui change la donne! Nympho? Lesbi refoulée? Les deux??? Elle déboutonne son jean et m’ordonne de la bouffer. La suite vous la connaissez. Enfin, pas tout, car moi, je n’ai pas joui. - Ouf! J’avais si envie de toi, merci! Laisse moi te ...