1. De Dame patronnesse à libertine. (6)


    Datte: 11/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... bulles chatouillent la peau... Tous les quatre dans l’eau, nous nous amusons à nous éclabousser, à chahuter ce qui est l’occasion de contacts plus intimes. J’attrape sous l’eau le sexe de Sacha (ou Serge) et je l’attire vers le bord en lui disant que je vais lui faire une gâterie pour commencer à le remercier de nous offrir ce week-end qui s’annonce beau et très sexe ! — Installe-toi sur le rebord et écarte les cuisses ! Si je peux m’exprimer ainsi, je prends les choses en main ! Dès que mon compère est installé comme je le souhaite, je commence à masser son sexe et ses bourses pour le faire bander... Je le regarde avec mon air le plus salace possible en faisant aller la pointe de ma langue entre mes lèvres puis je m’approche encore et maintenant, je glisse le gland dans ma bouche et j’agace le méat de la pointe de ma langue... J’ai fait beaucoup de progrès depuis que je suis tombée sur les lascars auxquels je destinais les publications paroissiales... J’ai acquis une technique de pipeuse que mes amants d’une heure ou d’une soirée me reconnaissent ! Quand j’estime que la bandaison est optimum, je sors de l’eau et j’entraîne mon futur amant sur un des matelas de plage où je l’allonge, le sexe dressé prêt à pourfendre. Je lui fais face et lentement je descends mon sexe sur le sien en regardant mon amant d’un air gourmand : — Mon coquin... si tu as des réserves... je vais t’assécher les burnes jusqu’à demain... Deux mecs pour deux nanas assoiffées de sexe... ça va être le ...
    ... pied ! — Nous serons vos vaillants étalons ! Et changement de monture, ça ouvre l’appétit n’est-ce pas ? — Sûr ! Alors, je me suis redressée en appuyant mes mains sur son torse, plus précisément les doigts sur les tétons. Je me suis mise à onduler du bassin lentement, gémissant d’aise chaque fois que je sentais son sexe frapper le fond du mien, profondément enfoncé entre ses cuisses. Après un moment de ce traitement d’une lenteur diabolique sciemment entretenue, j’accélérai la cadence... S’ensuivit une chevauchée fantastique, de plus en plus sauvage, ou mon bassin montait et descendait, l’embrochant de plus en plus lourdement sur son pieu, mes seins dansaient au rythme de ce rodéo, ballottant en tous sens... je les attrapais dans mes mains pour les malaxer pendant que je me baisais sur ce Priape qui m’habitait. Je me baisais moi-même et quel pied ! Puis il attrapa mes seins dans ses mains puissantes et il fit rouler mes tétons dressés entre ses doigts... J’étais incapable de ralentir ma chevauchée fantastique ! Mais soudain le plaisir que je refoulais depuis quelque temps, a pris les dessus et je me suis affalée sur le buste de mon amant dans un grand cri : ‘Oooouuuiiiiiiiiii ! Je jouuuiiiiusss...’ pendant que je sentais les salves de son sperme s’écraser contre ma matrice... Qu’il était généreux. Que c’était bon de se sentir emplie de la jouissance d’un beau mâle. Annie et son compagnon s’étaient approchés de nous pour nous regarder. — Quelle cavalcade... Je ne te savais pas si ...
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