1. COLLECTION ZONE ROUGE. Coup de tête (4/5)


    Datte: 24/06/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... Luigi n’aime que toi, mais maintenant que tu m’apportes la femme fatale que j’attendais, tu disparais à jamais. Je crois que j’ai devant moi le stéréotype de l’homo, j’ai l’impression d’avoir devant moi la réplique parfaite de la pute dans le bois de Boulogne qui voulait me faire la peau, car j’étais sur son territoire. Luigi comme le travelo du bois est-il coupé où il a encore ses attributs, quoiqu’il soit beau gosse et tous ce que j’ai fait de nouveau depuis ce matin, dans cette fin de journée, je ne suis pas pressé d’aller voir. • Ma sublime Bella, Luigi te propose un jarret de bœuf à la Florentina, c’est la Mama qui a appris à Luigi à cuisiner sa recette, Paolo, le fait bouillir pendant des longues heures, le travail en corolle et le remplit de bonnes tomates et petit légume du pays. • Luigi arrête tes conneries, tu es né à Montmartre, ta mère dans les années 50 tapinait près du moulin de la galette, tu es né de père inconnu, par ailleurs, tu dis vrai, vos jarrets remplis de ratatouille sont sublimes, sers-nous-en un pour les deux, nous le partagerons. Ces Italiens, il faut toujours qu’ils en rajoutent. Il vit avec Paolo, c’est Luigi qui fait la femme dans leur couple. Nous sommes servis et il est vrai qu’un jarret pour deux est suffisant pour nous rassasier, ajouté à ce plat fort bien cuisiné, un chianti et un expresso nous suffit avant de quitter le restaurant de Luigi, persuadé que j’y reviendrais. Au moment de partir Paolo vient nous saluer, si son sexe est en ...
    ... rapport de la masse de muscles et de graisses que nous présente le cuistot, Luigi doit ramasser. • Retourne-t’on chez toi ? • Tu es fatigué, petite nature, la nuit ne fait que commencer, je vais t’amener voir la grande Josette, c’est ma copine. Nous remontons jusqu’au boulevard où nous arrivons devant une boîte à strip-tease, les panneaux de publicités nous proposent les plus jolies filles de Paris, du moins c’est ce qui est marqué. • Salut Anabelle, tu ouvres samedi, il est temps, tu sais que j’aime boire un verre chez toi quand j’ai fini mon service. Tu viens voir Josette, elle passe dans quelques minutes. Nous entrons et passons la caisse sans payer, on nous installe à une table, une jeune femme finit de s’effeuiller, c’est drôle, la première chose que je regarde c’est son sexe, vu la largeur du timbre-poste qu’elle nous montre, elle est entièrement épilée comme Anabelle. • Champagne comme d’habitude ma divine. • La cuvée du patron, pas votre bibine à touriste. • Il en va de soi, j’étais sûr que tu vendrais ce soir, j’en ai mis une au frais. Anabelle a ses entrées partout dans Pigalle. « Venu des États-Unis spécialement pour vous, après être passé dans les plus grandes boîtes de New York et Las Vegas où elle remplissait les plus grandes salles, voici Alison, applaudissez là très fort. » La voix qui sort des haut-parleurs annonce le numéro d’une fille certainement avant celui de la grande Josette. • Ne te laisse pas prendre bellissime, Alison, c’est la grande Josette, c’est la ...