1. Séville : Semaine Sainte à surprises


    Datte: 08/11/2019, Catégories: fhh, hagé, vacances, fête, amour, intermast, Oral pénétratio, hsodo, confession, nostalgie, hbi,

    ... rondeurs sous le débardeur de la même matière sensuelle que le legging pendant qu’elle explore délicatement mes trop présentes poignées d’amour. Deux étages plus loin, il se glisse entre nous pour ouvrir la porte, allume la lumière et vite referme derrière nous. Ils me prennent à nouveau par les mains, nous passons devant une cuisine et une chambre, à peine entrevues, nous traversons un petit séjour aux volets clos pour arriver dans une chambre « de fille » : harmonie de couleurs chaudes et douces, belle coiffeuse ancienne avec son magnifique miroir et grand lit central… à une place ! Les persiennes filtrent le jour juste ce qu’il faut pour créer une atmosphère intime sans nécessité de lumière artificielle. Elle abandonne ma main pour s’asseoir au bord du lit, lui s’est écarté je ne sais où : elle a capturé mon regard et, ses yeux dans les miens, elle fait sauter ses ballerines puis pose les mains sur ses hanches et fait glisser son legging. Je prends conscience que depuis le début seul « viens » a été prononcé, mais chacun de nos gestes, de nos regards parle mieux que des mots. Son pantalon est maintenant sur ses mollets, je découvre ses cuisses et son ventre légèrement dorés, en partie cachés par ses bras. De son intimité, seule le haut d’une petite touffe bien taillée est visible car elle a gardé les jambes serrées. D’un joli mouvement elle se débarrasse du pantalon, s’allonge en travers du lit, les mains sous la tête, les jambes pendantes. Ses yeux qui ont à nouveau ...
    ... capturé mon regard descendent jusqu’à ma bouche, remontent, redescendent et dans le même temps, elle ouvre grand ses cuisses. Je crois comprendre que c’est ma bouche qu’elle désire et je m’approche sans regarder la cible qu’elle m’a ainsi désignée. Je m’agenouille entre ses jambes, me penche lentement. Je contemple l’arrondi de son ventre nu et plus loin, les rondeurs de ses seins sous le tissu duveteux. Manifestement dépourvus de tout soutien, ils s’écartent un peu ; ce relâchement, je ne sais pourquoi, m’émeut… Mais je suis attendu ailleurs ! Je baisse les yeux sur un tapis de bouclettes très noires, un rectangle de mystère qui cache tout… sauf une belle rondelle brune et ses alentours. J’effleure du nez, la peau nue entre rondelle et toison et « ma » belle frémit. Surprise ? Qu’attendait-elle ? Que veut-elle ? Qu’aime-t-elle ? Seul contact avec elle, mon nez, qui remonte lentement, écarte les bouclettes, trouve des lèvres bien humides, joue avec l’une, l’autre, les masse, les déplace puis les abandonne pour monter encore à la recherche d’un petit bouton. De toutes ces douceurs, je ne vois rien, seul mon nez me renseigne et me dit que le petit bouton est encore bien fermé, bien petit : ce n’est pas tout à fait son heure. Je redescends donc et cette fois je m’enfouis dans les chairs, le plus loin possible, ressors, reviens. À chaque mouvement ma bouche se pose à la frontière de la toison. « Ma » belle semble apprécier, car elle souffle plus fort et remue les hanches de droite à ...
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