1. Quand Margot devient chienne 25


    Datte: 08/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    Et que Anne la suit de près.Anne sentit qu’une main, douce d’ailleurs, lui caressait le creux du dos. Celle-ci descendait tout doucement vers ses fesses, provocant un léger frisson que l’intéressé devait constater. La main suivit l’arrondi de sa croupe ferme à la peau satinée. Toujours doucement, plus d’ailleurs comme un frôlement appuyé que comme une caresse, la main parvint au bas de la fesse, là où commence la cuisse. Elle s’arrêta. Resta immobile. Le cœur d’Anne se mit à battre plus vite. La main repris sa course mais en remontant vers l’intérieur des cuisses. Le bout des doigts effleura les grandes lèvres et s’insinua entre les deux globes rebondis, frôlant l’étoile brune en laissant une traînée humide au passage. Arrivée de nouveau en haut des fesses, la main descendit sur le flanc puis sur le ventre d’Anne qui frémit tant de plaisir que par la chatouille que l’effleurement provoquait. La main s’attarda sur le ventre soyeux qu’une respiration accélérée faisait onduler. La main repris enfin sa marche. Elle épousa la forme de chaque sein qui pendait, raide, le téton arrogant que deux doigts triturèrent arrachant un petit cri à la suppliciée.D’un coup elle ne sentit plus la main. Où était-elle passée ? Pourquoi l’avait-elle abandonnée ? Cette main était si bonne, si douce. Cette main était pour elle. Anne la voulait. Son corps la réclamait. Tout comme avec Margot, elle ne maîtrisait plus ses envies. Sa tête disait bien quelque chose, mais son corps, ce démon, réclamait ...
    ... son dû.Enfin la revoilà. Et la deuxième l’a rejoint. Maintenant les deux mains écartent les fesses. Anne sent qu’un pouce s’est mis sur sa rondelle et la malaxe. Oh mon Dieu ! Se dit-elle, non pas ça. Mais que puis-je faire ainsi coincée ? Mais le doigt s’en va de l’endroit. Vite remplacé par une langue fureteuse mais tellement excitante. Cette langue qui s’insinue dans le sillon de ces fesses si douces, si chaudes. Puis la bouche s’empare de ce sexe béant, mouillé, palpitant au rythme du torrent de sang qui gronde dans ses veines. La langue s’enfonce au plus profond qu’elle peut, ressort pour mieux replonger au fond des entrailles d’Anne, inondées de cyprine.Ses caresses buccales lui arrachent nombres de râles et de gémissements de plaisir. D’instinct Anne a écarté ses jambes, donnant ainsi un meilleur accès à sa vulve baveuse. Le rose de son vagin qu’on aperçoit maintenant, tranche sur la peau mate de ses grandes lèvres, toutes gonflées du désir a****l qui possède tout le corps de la prisonnière volontaire.Alors que la langue a quitté son antre, elle sent ce qui lui semble être le gland d’un vrai phallus cette fois. Il est posé à l’entrée de sa grotte d’amour frémissante, à peine rentré, il ne bouge pas. Mais qu’attend-il ? Se dit-elle. Ne voit-il pas que ma chatte l’appelle ? Ne voit-il pas que je mouille pour lui ? Pourquoi ne me bourre-t-il pas mon con ? Je la veux sa bite ! Je la veux sa grosse et belle queue ! Allez-y Maître, enfoncez-vous ! Car il n’y a pas de doute, ...
«1234»