1. Nathalie


    Datte: 11/09/2017, Catégories: fh, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation entreseins, Oral pénétratio,

    ... seins, ses deux mains n’y suffisent pas. Il met sa tête entre mes seins, on dirait qu’il ne s’en lasse pas. Il mordille mes tétons pour les faire se dresser. Il finit par descendre ses mains et sa tête et se retrouve entre mes jambes. À son tour de me montrer ce qu’il sait faire et il se débrouille très bien. Il me lèche, aspire mon clito, le mordille. Ça me rend de plus en plus humide. Alexandre s’arrête, il me retourne et me fait mettre à quatre pattes. Il frotte son sexe contre mes fesses. Il commence à suivre mon sillon et vient appuyer son gland sur mon clito. Il branle mon clito avec son gland. Puis d’un coup, il s’accroche à mes hanches et me pénètre brutalement. Il commence à faire de légers va-et-vient et accélère de plus en plus la cadence et la profondeur de ses pénétrations. Je l’entends commencer à respirer de plus en plus fort. Mes gémissements légers au début sont en train de se transformer en cris. Pris dans son assaut, il claque une fesse. Puis me sentant prête à jouir, il se retire. Je le récrimine. ...
    ... En réponse, il me met une fessée sur mon autre fesse. Puis, il me fait m’allonger sur le dos et il commence à jouer avec moi en entrant légèrement son gland dans mon vagin et dès qu’il sent que j’en veux plus, il se retire. Il me tue à force de me frustrer. Puis d’un coup, il décide de me pénétrer de tout son long. En réponse, je m’accroche à lui en enserrant mes jambes autour de sa taille. Il me donne des coups de reins de plus en plus forts et profonds. J’adore. Pendant qu’il me prend, je sens la jouissance venir. Pour qu’elle soit à son maximum, je décide de me masturber. Je viens très vite et je jouis bruyamment. Alexandre se retire et jouit sur mes seins en se branlant avec. K-O après cette jouissance, il s’allonge à côté de moi. Nous nous endormons. Nous nous réveillons aux lueurs du petit matin. En prenant notre petit déjeuner, Alexandre me demande quand je reviens à Sarreguemines. Je lui dis que ce qui s’est passé cette nuit était exceptionnel et que cela ne se reproduirait pas. — Ah bon, c’est ce que tu crois ? 
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