1. La basketteuse


    Datte: 08/11/2019, Catégories: fh, copains, taille, Oral pénétratio,

    ... je me demande comment j’ai pu si souvent me laisser aller à cette inclinaison immonde, une chatte c’est affreusement sale, même lavée, quelle idée d’aller lécher cette merde ! Et dire que la plupart des lécheurs font des chichis pour boire dans un verre qui a déjà été utilisé, quand bien même il le serait par leur propre partenaire à qui ils bouffent goulûment chatte et cul pleins de mouscaille ! Les gens sont sordides parfois… Notre dialogue stupide continue : — Viens par là que je te remplisse le ventre de joie !— Oooh ! s’exclame-t-elle. Avant que ne fuse un « Ta gueule ! » dans ma tête. Elle se masse brièvement le clitoris et fait aller ses doigts le long de ses lèvres comme pour préparer la fatidique entrée en scène de l’artiste ; s’offrait à moi alors son fruit déhiscent que j’allais polliniser. Le premier coup de bite est précieux, il donne le la, il est le plus sensible, on part de zéro, c’est le premier plongeon à froid qui va conditionner la montée dans les tours et jauger la friction qui s’en ressentira. Je ne m’y sens pas à l’aise et la sensation de chaleur est filtrée par le latex, après deux ou trois allers et venues, je simule alors une bite qui fourche maladroitement de son fourreau en ressortant trop large et dans un élan de fourberie, j’en profite pour déchausser subrepticement cette maudite capote avant de replonger ma bite toute crue que j’envoie jusqu’au fond de son cocon se vautrer dans sa cyprine, une sensation douillette m’envahit instantanément dans ...
    ... ce bain délicieux. Je me doutais bien qu’avec de pareilles dimensions, cette garce n’allait pas non plus avoir la chatte constrictrice de ma lycéenne. J’aurais voulu tenter une levrette mais ç’aurait été vain, elle viendrait beaucoup trop haut d’abord pour être praticable puis elle remarquerait le tour d’illusionniste avec la capote. Je m’autorise toutefois certaines variantes, en levant et portant par exemple ses jambes lourdes sur mes épaules, cela m’offre une ouverture de vue sur la bagarre, j’adore regarder ma bite dans son activité d’usinage, libre de toute protection, la voir besogner à la chaîne comme une prolo maculée de sueur de chatte et pour qui seule la valeur travail compte dans la vie. Dans un accès de conscience, je sors de mon statut animal. Une jambe est tombée, une autre est restée sur mon épaule, je la regarde, cette jambe longue, cette cuisse énorme, je me sens dépassé par les événements, ce gabarit hors normes d’A380 me trouble, je suis paumé… Je n’ai à cet instant qu’un seul souhait, qu’une seule envie c’est qu’elle sorte de chez moi au plus vite. Je ne bande qu’à 70%, je compare avec ma meilleure femme avec qui je bande si fort et si dur que je pourrais même démolir le mur des lamentations en me cognant dessus ! Je fais contre mauvaise fortune bon cœur, je dois honorer mon statut, j’ai quand même été élu bite d’or plusieurs années consécutives, je ne peux pas abandonner un contrat de manière aussi lâche. Vaille que vaille je termine mon boulot ; je me ...