1. En vacances avec Constance.


    Datte: 09/11/2019, Catégories: Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... plus de temps, mais mets toi à l'aise... La voiture démarra dans un ronronnement presque sourd. Les immeubles défilèrent, puis les rues, les gens, les piétons ,les cyclistes,les voitures, les camions... -Tu sais ce que j'aime là-bas ?. L'air de la côte. Les gens savent se montrer discrets. La discretion, l'une des rares qualités que j'appréçie chez les humains... Et il se mit à caresser le visage pâle et laiteux de Constance de sa grosse pogne brutale et pleine de veines. C'est à ce moment-là que je me rendis compte qu'elle portait un long manteau de velour sombre avec en guise de sous-vêtement le corset de l'autre fois. Puis ses doigts fouillèrent sa bouche, elle devenait une chatte à la recherche de câlin et qui vibrait de plaisir. -Tu es à moi... VOUS êtes à moi maintenant !. Tous les deux!... vous allez entrer dans mon monde et vous n'en sortirez pas !!!... Sur ce, il roula une grosse galoche à celle dont je partageais souvent le lit depuis des mois. Ses cheveux châtains et ondulés avaient poussés.Elle retira son manteau. J'oubliais complètement le trajet de la voiture. Voilà un moment que nous roulions sur l'autoroute. Le magbifique corps sculptural de Constance se tenait à mes côtés, elle embrassait fougueusement celui qui était mon rival. Ils se déshabillèrent. Le corps sec, glabre et ...
    ... musculeux du chirurgien accentuait son physique d'amérindien. Il suça les grosses loches de Constance- un bon 95E- tout en lui pelotant ses fesses larges et généreuses. Nous avions goût pour le même genre de femme. Constance se mit à le sucer. Son membre était veineux, bien dur. Elle le suçait goûlument pendant qu'il lui caressait les cheveux. Les minutes passèrent sans parole, en dehors des gémissements qui ne sortaient pas de l'habitacle. Le chauffeur, le chauve, lui aussi il devait appréçier. Je le voyais jeter de fréquents coups d'oeil sur le rétroviseur. Son regard torve ne perdait pas une miette du spectacle. Petit à petit le chirurgien obligeait Constance à accélérer ses và-et-vient, poussant régulièrement des grognements de bête jusqu'à ce qu'il lui crache dans la bouche, au fond de la gorge. Il lui maintint la tête afin qu'elle engloutisse sa verge jusqu'aux couilles. Puis il la relâcha. Elle ouvrit la bouche pour lui montrer le résultat puis il lui fit signe de me montrer. L'intérieur de sa bouche était recouverte de foutre mélangé à la salive, elle tira la langue pour mieux me montrer.Puis elle avala. -Tu me déteste n'est ce pas ?. Je te donnerai d'autres raisons de me détester. La berline allemande filait sur l'autoroute en direction de la Normandie. Le soleil se couchait tranquillement. 
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