1. Exhib dans le train...avec anneau pénien (1)


    Datte: 09/11/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... Caresse ta belle queue me soupira-t-elle enfin. SA belle chatte était si lisse, si luisante de mouille, que je mourrais d’envie de la lui lécher. Excité à mourir par ce qu’elle me présentait, j’osai. Je pris mon manche épais à pleine main et lentement, le coeur battant à tout rompre, je me mis à me le pétrir lentement. Devant elle. Devant elles. Je ne m’étais jamais caressé en public, en tout cas pas mon membre à l’air. Je faisais fort, là, dans ce train. JE vouais une confiance totale à cette inconnue qui elle seule avait la vision du reste du wagon. Je ne pus retenir un gémissement de plaisir, de soulagement, quand je sentis la peau épaisse de mon sexe coulisser sur mon gland. Une coulée de mouille épaisse s’échappa de celui-ci, rendant mes caresses plus divines encore. LA belle-blonde osa alors poser son pied droit à-même la banquette sur laquelle elle était assise, cuisses grandes ouvertes devant moi. — Hummm oui, caresse ta belle queue ! m’encouragea-t-elle une nouvelle fois. J’entendis soudain un "Oh mon dieu, c’est pas possible" de la bouche de la lectrice quarantenaire qui trépignait sur place, les joues rouges. La belle blonde se contentait de se sa caresser la minette en surface. Elle écarta les lèvres de celle-ci à l’aide de ses doigts, m’offrant une vue directe sur sa vulve rose pale, luisante de mouille. Son clito était gonflé d’excitation, prêt à exploser. A me masturber à pleine main de la sorte devant ces deux femmes, j’en étais plus excité que jamais. Mon ...
    ... gland chuintait au moindre de mes mouvements tant il était trempé de mouille. La belle blonde comme nous mîmes à gémir en même temps. Je sentais l’orgasme arriver à grands pas. J’arrivais au bout du tunnel, il me fallait arrêter là, avant la catastrophe, tant il était encore temps. Les tétons de la belle blonde dardaient sous son top noir et elle se ralentissait pas les caresses prodiguées sur sa belle chatte. La femme quarantenaire, malgré ses jurons, n’avait pas quitté sa place pour aller s’en chercher une autre. Bien au contraire. Bien que prise dans les tourments de ses convenances morales, elle savait bien que la fin approchait. Elle ne quittait presque plus ma queue du regard, s’attendant à une éjaculation imminente. Le comble e l’obscénité en ce lieu public, mais elle l’attendait. Elle la voulait. Je ne m’imaginais pas une seule seconde oser éjaculer à grands jets devant ces deux femmes. Je me connaissais sur ce point et me savais particulièrement généreux, ce qui, selon les circonstances, ne jouait pas toujours à mon avantage. Les doigts coquins de la belle-blonde la faisaient chuinter de mouille elle aussi... Le regard de ces femmes sur mon membre en rut et au bord de l’orgasme... Ce train, ce lieu public dans lequel nous étions en plein interdit, où j’étais en plein interdit... Mon gland était de plus en plus sensible. Je sentais que j’allais jouir. Non, je ne pouvais pas, je ne pouvais pas. Pas ici. Pas ici. La belle-bonde perçut-elle mon hésitation dans mon regard ? ...
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