1. Le fol anniversaire d'Antonia (8)


    Datte: 09/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Antonia et moi émergeons à 7h30 le dimanche matin et le soleil a largement terminé sa phase de lever. Nous avons dormi 3h. Cet instant est absolument unique. Je suis couché dans un confortable canapé sur la terrasse d’une demeure de rêve avec une femme de toute beauté dans mes bras. Antonia roule sur moi et s’empale sur mon gourdin matinal. Repoussant la couette, elle sautille gaillardement sur mon sexe, faisait ainsi danser devant moi ses énormes mamelles. Antonia, habituellement si réservée et pudique, m’offre un spectacle sublime. Mon orgasme est sensationnel. Antonia se penche, m’embrasse et d’un bond, plonge dans la piscine. — Viens ! Ça fait un bien fou ! Sans réfléchir, j’entre à mon tour dans l’eau. C’est parfait. Nous faisons quelques brasses revigorantes. Je m’arrête et Antonia s’approche, je file. Elle me rattrape sur l’escalier et m’embrasse. Encore un moment de rêve à l’embrasser dans la piscine au petit matin. J’ai envie que ce moment dure encore et encore. La belle italienne sort de l’eau et se sèche… avec sa robe. Je ris. Elle dit qu’elle va chercher quelque chose pour moi. Quand elle revient, je ne sais pas si elle voulait parler du linge de cuisine qu’elle tient à la main ou de la petit robe bleue foncée qu’elle vient de passer. Le décolleté est tellement profond que je lui vois la moitié des seins. — Ce que tu es belle… Antonia rougit. — Tu aimes ? — J’adore et je comprends également pourquoi tu ne l’as pas mise. Elle rit, je sors de l’eau et m’essuie ...
    ... avec la petite serviette. Je l’embrasse et lui demande de se tourner. Magnifique. Dos transparent, en dentelles, ultra sexy. Elle dit : — J’ai pris un sac poubelle. On fait le tour du parc pour ramasser les déchets restants ? Il ne devrait pas y en avoir beaucoup. Je m’habille et nous voilà partis. Nous ramassons quelques papiers et quelques verres, mais bien peu de choses en réalité. Nous parlons et je comprends qu’Antonia n’est pas vraiment heureuse. A 30 ans, elle aimerait fonder une famille et avoir des enfants. Elle voit que le temps passe et elle peine à avoir confiance dans les hommes qu’elle rencontre. Nous nous embrassons au bout du parc. Sur le chemin du retour, Antonia a mal aux pieds. Nous nous arrêtons quelques instants. Je souris car nous nous trouvons à quelques mètres de la haies de thuyas derrière laquelle j’ai flirté avec sa cousine Joëlle. — Montre-moi où vous étiez. Nous passons derrière la haie et nous nous asseyons au même endroit. — Joëlle veut qu’on se revoie. Elle veut que nous couchions ensemble. — Et alors ? Elle est vierge ? Elle le fera de toute façon un jour ou l’autre et je préfère qu’elle le fasse avec toi qu’avec un autre. Je sais que tu seras attentionné et qu’elle prendras son pied. Je ris : — Quelle confiance ! — Allez ! Arrête ! Raconte-moi plutôt ce que vous avez fait là. — Et bien, on était assis là, on s’est embrassé, je l’ai caressée et elle était toute gênée car c’était la première fois. — Tu l’as caressée où ? — Ses seins. Je les ai ...
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