1. Tout bi or not tout bi


    Datte: 09/11/2019, Catégories: 2couples, fbi, hbi, Oral 69, hdanus, init,

    ... nous étions tous, adultes consentants, nous n’avions aucune obligation et étions libres de stopper les frais à n’importe quel moment si bon nous semblait. Je m’étais répété les mêmes arguments toute la semaine, mais le fait que mon épouse me les serve me calma tout à coup. Cette nuit-là, je dormis comme un loir, ce qui fit que j’étais malgré tout en assez bonne forme le jour du dîner. Béatrice se prépara tout l’après-midi, prenant un bain très long, puis sortant toutes les cinq minutes pour me demander comment je trouvais sa coiffure, ou son maquillage, et, quelles que fussent mes réponses, retournait dans la salle de bain en disant dans ses dents :« Non ! Ça ne va pas ! » Le choix de la robe fut identique, presque toutes y passèrent – et sa garde-robe est bien remplie – pour aboutir finalement à la phrase traditionnelle : — Tu vois bien toi-même : je n’ai rien à me mettre ! Je me sens boudinée dans toutes mes robes ! Qu’est-ce que je vais faire ! J’intervins alors pour la rassurer sur ses mensurations et lui dit qu’elle avait maigri, sans mentir ! Que j’adorais sa robe rouge qui lui conviendrait parfaitement : — Mais tu te rends compte, elle est vachement courte ! Qu’est-ce qu’ils vont penser ?— Que tu es habillée comme une coquine, ce que tu es, d’ailleurs ! Elle éclata de rire et adopta la robe rouge. Elle retourna dans la chambre tandis que je profitai de ce que la salle de bain était libre pour me préparer en quinze minutes. Peu après, elle sortit de la chambre. Je ...
    ... restai sans voix, ma mâchoire inférieure descendit d’au moins douze centimètres et je devais ressembler au loup de Tex Avery quand il voit une superbe blonde plantureuse. La robe la moulait mieux qu’un gant, mettant en valeur ses petites fesses rondes et hautes ainsi que sa poitrine arrogante. Elle portait des bas résille et elle releva sa robe pour me faire constater qu’elle avait des porte-jarretelles. J’en profitai pour reluquer sa petite culotte en fine dentelle noire. Sa coiffure et son maquillage étaient parfaits. Elle me demanda avec un sourire coquin : — Tu crois que ça ira ?— Pffff, ouais, ça peut aller ! Et je la pris dans mes bras pour l’embrasser.— Nan ! Tu vas bousiller mon rouge à lèvres ! Tu feras la queue, comme tout le monde ! La queue eut des difficultés pour se calmer et revenir en place… Nous fûmes accueillis comme des rois par nos nouveaux amis. Annie n’était pas en reste avec Béatrice. En robe grenat et bas résille blancs comme ses chaussures à hauts talons, son maquillage était plus sobre, mais tout aussi seyant que celui de mon épouse. Celle-ci se fit complimenter avec enthousiasme par nos hôtes. Le dîner qui suivit fut excellent et arrosé de vins parfumés et abondants. Le champagne servi avec le dessert nous plongea dans une certaine euphorie. Quand Annie et Edmond s’embrassèrent avec fougue et qu’il souleva sa robe pour lui caresser la foufoune sous son slip, nous comprîmes que les affaires sérieuses allaient commencer… Annie invita Béatrice à se rendre ...
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