1. Le fabuleux destin de Benjamin (3)


    Datte: 10/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... d’avantage dans sa chatte, lui provoquant un cri de jouissance. Cela surprit Zita et Benji, et sa fille lui demanda : - Ça va ?, maman, tu as l’air bizarre depuis tout à l’heure. Anita n’arrivait à réfréner ses pulsions, et le gode dans sa chatte ne faisait qu’aggraver la situation, elle avait une envie folle de la queue de Benji, alors elle dit à sa fille : - Est-ce que tu peux aller me chercher un peu d’aspirine stp, ma chérie ? Elle savait qu’il n’y en avait pas dans la boite à pharmacie, mais il fallait qu’elle trouve un moyen d’être seule avec Benji. Dès que Zita fut sortie de la salle à manger, elle dit à Benji : - Benjamin, est-ce que tu peux t’approcher, il faut que je te demande quelque chose. Benji parut inquiet, il n’avait jamais vu la mère de Zita dans cet état, il approcha d’elle en espérant pouvoir l’aider. Dès qu’il fut assez proche, Anita ouvrit ses cuisses en grand, attrapa la main de Benji pour la coller à sa chatte en feu et en retirant le gode de sa chatte, lui dit : - Fouille moi la chatte, enfonce moi tes doigts bien profond Benji fut surpris, mais il avait tellement vu de comportements étranges ces derniers temps, qu’il consentit à la demande d’Anita, et lui enfonça directement deux doigts au fond de sa chatte trempée. Elle lui dit : - Oh putain, oui, vas-y, fouille moi la chatte, petit salop. Et tandis que Benji fouillait la chatte d’Anita, ils entendirent Zita qui disait à sa mère, qu’elle ne trouvait pas l’aspirine. Sa mère lui cria : - Cherche bien, ...
    ... fouille bien au fond, dit-elle avec un regard lubrique sur Benji Il lui enfonça un troisième doigt dans la chatte, il commençait à être à l’étroit dans son short, plus la journée passait et plus il était convaincu que toutes les femmes étaient des salopes. Ils entendirent Zita revenir vers la salle à manger. Anita repoussa Benji à contrecœur qui comprit qu’Anita ne voulait pas montrer à sa fille à quel point, elle était une salope. Benji se rassit sagement à sa place, et se dit que le proverbe : « telle mère, telle fille » était bien approprié. Anita avait repris un semblant de naturel quand Zita réapparut, elle avait encore le gode entre les mains, et la chatte trempée, mais elle arriva à dire à sa fille dans un naturel troublant : - Est-ce que tu peux aller m’en chercher à la pharmacie, ma puce, ça me soulagera. - Ok, ok, dit Zita, contrariée de ne pas pouvoir profiter de Benji tranquillement - Prends l’argent dans l’entrée, merci ma puce, dit Anita avec une impatience bien camouflée Dès que Zita fut sortie, Anita se précipita sur Benji, elle se mit à genou, poussa son siège en arrière, et tira sur les bords du short de Benji. Benji l’aida comme il put, mais il se dit qu’il avait à faire à une folle furieuse. Quand Anita réussit enfin à sortir la grosse bite de Benji, elle la prit en main et dit en la branlant doucement : - Putain, quel morceau, tu as déjà baisé ma fille avec ça ? - Oui, je l’ai dépucelé hier après-midi. - Ah c’est tout récent, donc elle ne m’en voudra pas ...
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