1. L'étalon aiguille (5)


    Datte: 10/11/2019, Catégories: Transexuels

    ... tout ! — C’est gentil ça. Bon, allez, j’y retourne Je l’embrassai juste avant qu’elle ne tourne la poignée de la porte, puis je me remis au travail. J’avais énormément de mal à me concentrer, je repensais sans cesse à ce qui venait de se passer, à la soirée de la veille, et je me demandais comment allait se dérouler celle qui venait. Vers dix-sept heures trente, n’y tenant plus, je traversai le couloir pour aller la voir. — C’est l’heure où tu viens chercher mes bottes, c’est ça? — Pas que tes bottes, ma belle, pas que tes bottes… Ce soir, c’est la totale. Après avoir verrouillé la porte, je m’approchai de son bureau, fis pivoter son fauteuil et le poussai lentement contre le mur. — Je vais te faire monter au ciel, là, maintenant, et après, seulement, on rentrera chez toi, mais c’est moi qui porterai tous tes vêtements, je dis bien tous — Alors là, ça y est ! Comme dirait Phil, "il a pété un boulon". Ça ne te suffit plus de porter mes bottes? Et puis, tu m’as déjà piqué ma petite culotte, non? — Non, Tiffanny, rien ne me suffit plus. Je t’ai emprunté un slip ce matin, c’est vrai, mais ce que je veux, c’est mettre pour rentrer celui que tu auras porté toute la journée. "Celui-ci" ajoutai-je en posant ma main à plat sur son pubis. — Je suis peut-être devenu fou, va savoir. Je veux "devenir toi", je veux dire, je voudrais pouvoir devenir la femme à la fois classe et sexy que tu es. C’est pour ça que je veux rentrer chez toi avec tes habits sur moi. Parce que je veux croire à ...
    ... mon fantasme — Et pour ce qui est du ciel? ukhummas — Pour ça, tu vas voir tout de suite Je me mis à genoux et léchai longuement son pantalon au niveau du mollet, tout en lui caressant des mains l’intérieur des cuisses. Ma bouche descendit jusqu’à ses bottes et s’y attarda un long moment, puis je l’incitai à écarter les jambes. Je fis glisser ma langue sur toute leur hauteur et arrivai au niveau de son pubis. Elle leva alors ses cuisses pour venir les poser sur mes épaules. Elle prenait manifestement autant de plaisir que moi à ces attouchements et se cambrait de plus en plus sur son fauteuil. Tout en continuant mes mouvements, je me déshabillai petit à petit. Elle avait incliné le dossier de son siège et était maintenant presque complètement allongée. Je me relevai pour finir d’enlever mon pantalon, puis, me couchant sur elle, je frottai mon sexe contre son bas-ventre. Le contact du cuir contre mon gland provoquait en moi une sensation à la limite du supportable. Tiffanny, elle, semblait apprécier, car elle gémit un peu plus fort et planta ses ongles dans mon dos. En retroussant son pull, je constatai qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Je me mis à mordiller et caresser ses seins sans arrêter pour autant les va et vient de mon bassin. Elle agitait la tête de gauche à droite en soupirant de plus en plus fort. Après avoir fait voler son pull sur le bureau, je lui demandai de se relever et me plaçai face à elle. Je passai une main derrière ses reins pour saisir entre ses ...
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