1. La jeune Asiatique et le chibre - Partie 1


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    ... problèmes d’allergie dus au caoutchouc.— Ah… je ne…— Mais j’ai peut-être quelque chose qui vous plairait. On a reçu ça d’un collectionneur. C’est un modèle étranger, mais qui semble pas mal efficace. Je vais vous le chercher à l’arrière.— Ok. La blonde disparut un moment et revint avec une longue boîte noire recouverte de velours qu’elle posa devant toi sur le comptoir du magasin. Elle l’ouvrit. À l’intérieur, on y trouvait un long vibrateur d’environ dix pouces. Il avait l’allure d’une vraie bite, avec la couleur ocre et un gland bien rosé. L’énorme tige se terminait par un bouton de plastique pour le réglage de la vitesse. — Vous pouvez y toucher, dit alors la vendeuse, te sortant brusquement de ta contemplation. Ta main s’approcha lentement du membre. Il ne semblait pas au repos, mais dans une forte érection. Sa peau semblait si réelle, la texture laissait paraître de longues veines sur toute sa longueur. Tes doigts le touchèrent, le caressèrent sur tout son long. Un frisson te parcourut le dos. Ta chatte était des plus humides. De retour près du gland, ton index en fit le tour et découvrit l’entrée de l’urètre. Étrangement, le minuscule trou semblait bel et bien profond. — Qu’est-ce que c’est ? La blonde se pencha pour voir ce dont tu parlais. — J’en ai aucune idée, j’imagine c’est pour faire plus réaliste. Qui sait, peut-être ça crache réellement du sperme ? Tu la regardas un moment puis tu refermas le coffret. — J’ai envie de le prendre, je veux dire… de vous ...
    ... l’acheter.— Très bien, dit-elle, en te faisant un clin d’œil. Vous reviendrez pour m’en faire une critique, si vous voulez. Tu repartis chez toi aussitôt l’objet payé, emballé. Tu n’avais qu’une envie : l’enfoncer profondément dans son sexe, te pilonner brutalement avec. Après ton départ, la vendeuse retourna dans l’arrière-boutique et entra dans le petit bureau tout au fond. La pièce, plongée dans la noirceur, dégageait une étrange odeur d’encens. — C’est fait. Elle a acheté l’objet, me dit-elle. J’étais assis dans un grand fauteuil, le visage dans l’ombre d’un grand chapeau sombre. Je rédigeais quelques obscurs documents sur le bureau. La vendeuse, Katherina, s’approcha de moi et appuya ses jolies fesses sur l’accoudoir du fauteuil. — Bien, dis-je. Maintenant, il ne reste plus qu’à attendre qu’elle l’utilise. Mes mains allèrent s’aventurer sur les hanches de la jolie blonde. — Tu sais que je déteste que tu portes ces jeans.— Je sais, maître, veuillez me pardonner. Mes doigts prirent la fermeture éclair de la braguette et d’un coup sec, je l’ouvris sur tout son long, déchirant le jean sur la moitié. Le reste du vêtement tomba sur le côté, découvrant la chair de ses cuisses nue et son sexe épilé, sans aucun sous-vêtement. Elle poussa un gémissement de surprise et de peur, devant la force avec laquelle j’avais détruit le jean. Katherina se mit à genoux à mes pieds, me suppliant de la pardonner, frottant ses cheveux dorés sur mon pantalon. J’ouvris silencieusement ma braguette et en ...