1. Désaccords


    Datte: 11/11/2019, Catégories: f, h, fh, jeunes, grosseins, Masturbation pénétratio, fdanus, jouet, baillon, hplusag,

    ... passe-t-il ? Vous êtes l’infirmière ?—(Agacée) Non ! Je suis ta femme ! Le septuagénaire la fixa avec crainte. — Je lui mets trop la pression…— Il faut bien qu’il apprenne sa musique !— Bien entendu, mais il ne doit pas faire n’importe quoi !— Dis-le que c’est un incapable ! Comme mon fils !— Tu as deux enfants, Jean-Paul ! Le vieil homme commença à s’agiter… — Je sais ! Deux ! À croire que tous les jeunes sont des bons à rien !— Calme-toi, mon chéri ! L’homme tourna la tête de gauche à droite et ordonna : — Prépare le dîner ! Véronique fixa sa montre. — Il te faudra patienter encore une heure ! Son mari ne réagit pas et elle soupira, avant de quitter la chambre. Dans le couloir, elle ralentit ses pas à la hauteur de la salle de bains ; elle baissa la tête et fixa le sol quelques instants, avant d’aller ouvrir. Véronique découvrit son soutien-gorge sur le sol. Elle se baissa et saisit du bout des doigts l’élément déclencheur. Un filet de semence coula sur le sol et Véronique précipita les deux bonnets dans le lavabo. Elle s’avança devant le miroir qui refléta tour à tour, le visage grimaçant de Quentin, puis celui d’Omar la troussant sur le capot d’une grosse voiture… Son regard maquillé fixa ses bonnets, elle y dirigea l’index, l’humidifia au contact de la dentelle et le dirigea vers ses narines. Elle huma l’odeur de son doigt dressé, les lèvres frémissantes, avant de l’essuyer sur son large décolleté. La nuit était tombée sur la propriété. Les fenêtres ouvertes ...
    ... permettaient aux courants d’air de rafraîchir toute la maison. Dans son grand lit, seule, Véronique ne trouvait pas le sommeil. Son corps nu sur le drap se tordait d’un côté ou de l’autre. Un éclair lointain la fit objecter, avant qu’un coup de tonnerre ne la cloue dans son lit. Elle tourna le regard vers le réveil : trois heures ! Elle posa une main sur son ventre plat, secoua la tête, avant de se lever… … Au rez-de-chaussée, nue dans l’obscurité, elle traversa le salon sur la pointe des pieds. Elle sortit sur la terrasse encore tiède et s’immobilisa quelques mètres plus loin. Elle écarta les bras et une brise fraîche glissa sur son corps incandescent. Un nouvel éclair zébra le ciel… Véronique descendit les quelques marches qui menaient au parc et ses pieds foulèrent l’herbe rase jusqu’à un petit bosquet. Les traits de son visage se relâchaient et un léger sourire s’affichait sur ses lèvres : elle revivait ! Sa poitrine remuait au gré de ses pas et ses cheveux respiraient la liberté : à la lueur de cette lune de juin, elle paraissait vingt ans de moins ! Véronique s’immobilisa près d’un arbre, elle plaqua ses fesses et son dos contre lui. Elle apposa ses mains à plat contre l’écorce rugueuse et s’enivra de liberté. Elle se retourna sur le tronc, se pressa contre lui et ses seins s’écrasèrent contre la peau végétale. Elle l’entoura de ses bras durant plusieurs instants… … Véronique poussa la porte de sa chambre et s’effondra à plat-ventre sur le lit. Elle étira une main en direction de ...
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