1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1102)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... l’homme comment il faisait avec mon clitoris maintenant bien dressé, commet il me le branlait sans ménagement faisant passer ses doigts à le frotter en de petits cercles et mon clito commençait à avoir faim… - Elle mouille ! dit celui qui attendait et qui ne perdait rien de la masturbation d’Abdou sur mon ami le clitoris… Tandis que maintenant je pompais avidement la queue placée sur ma langue… - Et voilà reprit Abdou, plus je la travaille celle-là plus elle aime ça, la preuve… - Incroyable, reprit celui qui regardait… C’est au même moment que celui que je suçais déchargea en ma bouche, au bord du manque d’air, devenu blanc de visage… Tandis que j’avalais son foutre, sa bite ramollissait rapidement, devenue pendante… Mais l’autre compère, excité par ce qu’il avait vu voulait sa part également. Mais il avait des exigences, le Monsieur… Bien habillé, il ne voulait pas se salir aussi il demanda et obtint qu’on lui apportât une chaise sur laquelle il prit place, sortit sa grosse queue et me fit venir au-dessus de lui, écartant les cuisses. - Masse-moi de ta chatte, petite salope, ordonna-t-il, et ne va pas trop vite, je te le ferai regretter crois-moi… Je me posai donc au-dessus de sa tige, lui faisant face mes mains derrière la tête, et commençais de me frotter à elle, lentement, très lentement, je m’enfonçais un peu, ressortait, m’enfonçais à nouveau. Un peu plus, remontais à nouveau, massant ce sexe dur avec ma vulve bien mouillée… Progressivement je m’enfonçais sur elle, ...
    ... mais toujours en la massant, contractant mes muscles intimes, enserrant sa bite comme dans une main… Alors que j’étais aux trois-quarts assise sur la bite raidie, mon col utérin toucha son gland et par des contractions que je savais faire, ne bougeant plus, je faisais bouger mon nez utérin sur le gland comme un doux léchage qu’aurait fait ma propre langue, tandis qu’en même temps, je contractais ma vulve qui serrait la bite… - Comment fait-elle ça, celle-là ? - Que fait-elle ? demanda Abdou - Je ne sais pas, elle me lèche le bout semble-t-il mais elle ne bouge pas pourtant… - Je vous avais dit, Monsieur, qu’elle était bonne et pas banale… - Vous savez à quel point on les dresse bien, Monsieur, mais, elle, c’est autre chose, je le sens, il va falloir la tenir fortement la garce, mais elle promet… Je sentais l’homme, surpris pas loin de venir, aussi je m’enfonçais plus fortement sur lui, remontait à nouveau plus rapidement et me renfonçais d’un coup, jusqu’en bas, lui pressant les couilles… L’homme se laissait faire… gémissant, soufflant lorsque tout d’un coup, il juta dans un long râle… re juta à nouveau… et resta inerte sous moi en coït… Anne n’avait rien fait jusqu’à présent, Abdou me fit me relever, et sitôt debout, le foutre commença de s’écouler…d’un claquement de doigt d’Abdou adressé à Anne : - Nettoie-là lui ordonna-t-il… Anne se précipita entre mes jambes que j’écartais, et léchait le foutre qui coulait, tout en me nettoyant de sa petite langue chaude. Anne était belle, ...