1. Le pari


    Datte: 11/11/2019, Catégories: fffh, Collègues / Travail vengeance, jouet, init,

    Afin d’arrondir les fins de mois, mon épouse fait des réunions de vente à domicile mais, n’ayant pas beaucoup d’affinité avec les petites boîtes en plastique avec couvercles hermétiques, elle a choisi le nouveau créneau de la vente de sextoys et lingerie coquine en réunion. Étant d’un naturel jovial et agréable elle se fait un complément de salaire d’environ six cent euros par mois en assurant trois réunions par mois. Lors de sa dernière réunion, une de ses meilleures clientes, qui a surtout un gros carnet d’adresses, lui a fait une demande particulière, en bonne commerçante mon épouse a promis de faire le maximum. Dès le lendemain elle avait passé commande et organisé la réunion suivante chez cette cliente. Aujourd’hui, la marchandise a été livrée et quand je rentre du travail, je trouve mon épouse en plein inventaire au milieu de quatre énormes cartons. Curieux, je vais voir cette commande plutôt volumineuse, je découvre avec étonnement, des paquets de couches, des changes-complets, de la layette, du talc, du lait de toilette, des tétines et autres accessoires de nurserie, mais le tout adapté aux adultes. Je lui dis qu’elle est folle, que la quantité est énorme, elle me répond que je pourrais lui faire confiance, quelle sait ce qu’elle fait. Fanfaron comme je suis, je parodie une pub télé et j’avance que si elle en vend la moitié à sa réunion, je veux bien lui servir de modèle pour les réunions suivantes. Les jours passent et j’oublie ma bêtise Je suis sagement installé ...
    ... devant la télé, quand elle rentre de sa réunion, sans aucune malice et comme à chaque fois, je lui demande si elle a fait de bonnes ventes. Elle se plante devant moi et m’annonce qu’elle a tout vendu, qu’il y a une autre réunion de prévue dans une semaine avec au minimum le double de filles et qu’elles ont été super contentes d’apprendre qu’il y aurait un modèle masculin à disposition pour les essayages. La mémoire me revient, j’essaie de me défiler mais, me rappelle-t-elle, un pari c’est un pari et elle rajoute que sa copine Sylvie, l’esthéticienne, était là et qu’elle m’a pris un rendez vous pour demain. Je m’étonne, elle me souligne que les bébés ne sont pas poilus comme des ours. Le lendemain, je suis présent à l’heure du rendez-vous. En tant que mec on se sent un peu ridicule au milieu de cette clientèle exclusivement féminine, quand Sylvie m’entraîne vers les cabines d’épilation je sens bien le regard amusé des clientes. Dans ce petit réduit une table genre table de massage en plein centre et tout autour des étagères contenants différentes boîtes et deux espèces de réchauds à fondue, dans le coin une chaise et un porte-manteau. Nous nous connaissons depuis longtemps, elle ose donc une certaine familiarité en me demandant de me foutre à poil afin qu’elle évalue les dégâts. Je ne sais pas ce qui me pousse à autant de naïveté, mais je garde mon caleçon espérant échapper à une partie du supplice. Mais elle a tôt fait de se moquer de moi en me signalant que l’épilation du ...
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