1. Le gîte naturisme, chapitre 9. Nuit d'orgie, Léo et Stéphanie se déchaînes avec Patrick .


    Datte: 11/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Patrick. Ma chatte dégouline comme une vraie fontaine et lubrifie de mouille à chaque va et vient ce formidable boutefeu. Mais Léo s’impatiente : -A moi maintenant ! Laissant ma bouche orpheline, il va s’asseoir sur le divan et me demande de venir s’empaler sur sa queue. Toujours enfoncé en moi, Patrick me soulève et marche vers Léo, me déboîte de son pal et me dépose sur ses cuisses, je guide d’une main le sexe de mon mari qui rentre d’une traite dans ma grotte d’amour distendue. Patrick monte alors sur le divan pour me présenter son bélier qui passe le rempart de mes lèvres. Lui : La bite de Patrick n’est qu’à quelques centimètres de me yeux, je vois distinctement ce manche de pioche aller et venir entre les lèvres de ma femme à chaque poussée de sa teub, il lui déforme la bouche, sa joue semble sur le point d’éclater sous la pression. La main de Stéphanie ne reste pas inactive et branle tout ce qu’elle ne peut pas absorber. Elle se comporte comme la dernière des salopes, sa deuxième main vient en renfort pour lui tripoter les couilles. Je dois dire que sa conduite m’excite au plus haut point et que si je ne veux pas gicler prématurément, il faut que je quitte cette grotte accueillante. Mon dieu ce qu’elle mouille. Sa cyprine macule ma queue et mes cuisses et coule sur le divan. Patrick vient de se mettre à coté de moi et d’un commun accord, nous déplaçons le corps de Stéph. Ma bite quitte son fourreau qui ne reste que quelques secondes inoccupé avant de connaître à ...
    ... nouveau un locataire un peu plus corpulent. ELLE Je suis comme une poupée entre leurs bras puissants. Ma chatte est de nouveau orpheline mais je me sens redescendre et m’enfoncer sur l’obélisque dressé de Patrick. Je frémis comme rarement. Rien que le fait de sentir à nouveau en moi ce barreau de chaise déclenche un nouvel orgasme. Patrick me laisse descendre doucement sur son phallus dressé. Son gland gorgé de sang écarte mes lèvres et repousse mes chairs. Il s’aventure tout en douceur dans mon vagin. Il est conscient qu’il n’est pas le mâle « lambda ». Avec prudence, son dard progresse en moi et il se rend compte qu’il ne rencontre aucune résistance. Au contraire, après ce que j’ai déjà subi ce soir, je suis prête à aller encore plus loin. Se sentant en confiance par ma passivité, il continue à m'empaler sur son phénoménal pieu de chair. J’ai un peu d’appréhension de l'avancée inexorable de l'énorme colonne vivante à l'intérieur de mon sexe dilaté. Lorsque ma vulve se retrouve enfin plaquée au pubis de Patrick, je réalise avec étonnement que je viens d'engloutir la totalité de sa tige pharaonique. Le gland s’est frayé un chemin pour s’écraser sur le col de l'utérus qu’il essaie de repousser encore plus loin. Je n’aurais pas cru la chose possible avec un engin d'une telle dimension Mon visage resplendit de luxure, je veux lui montrer que c’est moi qui dirige l’orchestre. Prenant appui de mes mains sur ses épaules, je pose mes pieds sur ses cuisses et soulève mon bassin pour mieux ...
«1...3456»