1. Ma tante helene


    Datte: 14/11/2019, Catégories: Mature, Lesbienne Première fois

    Cette histoire à eu lieu à la rentrée, j’ai rendu service à ma tante Hélène en l’accueillant dans mon luxueux studio pour trois jours afin de libérer son appartement pour la réalisation de travaux.Ma tante est une femme de 55ans, veuve depuis de nombreuses années et on ne peux pas dire que ce soit le genre de femme sur lequel un homme se retournerait dans la rue, 1m60 fine, les cheveux courts et bruns, de petits seins et un gros cul.Etant arrivé dans l’après midi chez moi, nous sommes partis nous balader en forêt, histoire de prendre l’air, sa tenue n’ était pas forcement appropriée, elle était en robe longue, arrivant jusqu'à ces chevilles avec de jolis talons et un chemisier blanc, de mon coté j’étais en jogging et polo.Alors que nous marchions, ma tante me demanda comment allait ma vie privée, si j’avais une amie… je lui dis en plaisantant que j’étais seul car je n’avais pas un cul suffisamment musclé pour attirer… qu’elle ne fût mon étonnement quand ma tante me dit « je le trouve pas mal » . Photoshttp://uii.io/3q0z7dUne fois l’étonnement passé (ma tante est une femme douce et très coincée), je voulais voir jusqu’ou ce moment d’égarement allait la conduire et je lui répliquais « non je t’assure il est tout plat, donne moi ta main » et lui pris délicatement la main pour la poser sur mon postérieur… ma tante, se mit à rougir telle une pivoine.Ce petit moment d’égarement passé,je jetais un nouveau regard sur ma tante Hélène, qui même sous ces airs coincés et stricts, elle ...
    ... n’en restait pas moins une femme bonne à baiser.Le soir venu, je me mets au lit avec des fantasmes dans tout les sens en pensant à ma tante, elle sort de la salle de bain pour venir se coucher, et n’ayant peur de rien (du haut de mes 25ans) je lui dis en rigolant « hélène rassure moi tu ne vas pas dormir avec cette horreur, les chemises de nuit vert fluo taillé dans la nappe ça fait 50ans, celà ne se porte plus », gênée et confuse, elle me répondit « c’est si moche que ça ? »— Moi « je ne veux pas te faire de peine mais effectivement ça donne pas envie »— Hélène « je n’ai rien d’autre, alors tu n’a pas le choixJe suis sorti du lit avec un grand sourire « tu retire cette horreur ou c’est moi qui le fais » , elle me regarda médusée, face à elle, mes mains partirent de ses cuisses en remontant son corps qui frémissait, ses yeux se sont fermés comme pour apprécier chacun de mes gestes.Une fois la chemise de nuit mise à terre, mes mains redescendirent de ce corps doux et chaud pour faire descendre cette culotte de grand mère qui m’empêchait de découvrir cette chatte qui m'avait fait bander durant toute la journée.Ma tante avait toujours les yeux fermés, je lui donnais des ordres que jamais je n’aurais pu imaginé :Moi « à ton tour maintenant, retire moi ce caleçon qui me serre tant »,ma tante s’exécuta, elle commençait à faire glisser ses mains sur mes cuisses, mon torse, mes fesses et prit ma bite à pleine bouche, son manque d’expérience m’excita encore plus.Je la relevais avec ...
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