1. L'envol des tourterelles (22)


    Datte: 15/11/2019, Catégories: Lesbienne

    ... À mon réveil, ma culotte était toujours à tordre. » La douce séance de massage anal se poursuivit. Sophie s’exprima de nouveau : « Maman avait raison : l’anus et le rectum sont une grande source de plaisir. J’étais idiote d’en être ignorante. Et toi, tu m’as même démontré qu’on peut tirer du plaisir de nos fonctions naturelles. C’est comme si, pour moi avant, faire ces choses était une perte de temps, une chose répugnante. - Les tabous et certains aspects de nos cultures sont sources de blocage, approuva Alicia qui continuait ses caresses à l’égard de sa bien-aimée, elle-même se laissant porter par la magie du moment. Le bonheur se trouve dans la liberté, surtout dans les activités sexuelles. Et je suis heureuse que tu te sentes maintenant libérée. - Ali, je crois que je suis accro au sexe anal. Je ne veux pas mettre de côté les plaisirs vaginaux, mais je crois avoir découvert mon choix dès ma première expérience avec Maman. - Je suis d’accord avec toi, ma bibiche. Tu ne m’en voudras pas si je te confesse préférer ton petit trou à l’autre ? - Au contraire ! s’exclama une Sophie ravie. C’est ce que j’espérais de toi. Une fois de plus nous sommes d’accord. C’est merveilleux. Nous étions vraiment destinées à vivre ensemble, ma chérie. - J’aime ton petit trou de cul, ma Sophie d’amour. J’aime le voir, l’entendre, le goûter, le toucher. Et il sent bon. Je le trouve mignon et même s’il prend de l’expérience, il conservera toujours pour moi un petit côté sauvage. Tu me rends ...
    ... pratiquement folle quand tu t’approches de moi et que dans tes yeux je devine ton désir de te faire prendre comme une petite cochonne une fois de plus. Je crois avoir trouvé un moyen de m’approprier ce petit trou d’amour même quand nous ne sommes pas ensemble. - Vraiment ? Tu vas pas m’enchaîner tout de même ? Ou me faire un piercing ? - Ne crains rien. Tu verras bien, répondit Alicia, sans en rajouter. » Sophie, dans un effort de rapprochement, s’avança vers la fesse nue d’Alicia et se mit à la bécoter, laissant sa compagne continuer ses douces caresses. « J’aime sentir dans mon petit derrière de gamine tout ce qui vient de toi, mon amour, reprit-elle. Me sentir pénétrée par toi me donne à chaque fois le sentiment que je te rends heureuse et que je peux m’abandonner à toi dans une confiance absolue. » Le soleil et la chaleur estivale étant au rendez-vous, et à la suggestion d’Alicia, les nouvelles mariées poursuivirent leur journée en préparant leur sac de plage respectif. Elles revêtirent leur bikini et se mirent en route vers un endroit qu’elles seules connaissaient : la plage privée de l’oncle de Sophie, jumeau de son père. En ce milieu d’après-midi, elles roulèrent non loin de la mer et s’arrêtèrent devant une entrée privée, gardée par une barrière cadenassée dont Sophie possédait la clé. Ayant reverrouillé la barrière derrière elles, la voiture conduite par Alicia traversa un petit boisé pendant environ une demi-minute, puis s’immobilisa. Les filles en sortirent, prirent leurs ...
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