1. "Il venait d'avoir Dix-huit ans..." (8)


    Datte: 15/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Maurice s’en aperçut et sans honte cette fois-ci dut admettre qu’il bandait une fois de plus comme un taureau : damnée nature humaine ! La dernière phrase qu’il prononça avant les "réjouissances" étonna beaucoup ses quatre disciples : “ Anne veux-tu bien s’il te plaît enlever ta robe, et te foutre à poil devant ces messieurs ?!” Néanmoins il avait gardé une petite surprise pour sa femme: un martinet, dissimulé dans sa sacoche... il fallait bien qu’Anne en bave un peu elle aussi ! Anne, les yeux brillants d’excitation malsaine, se percha sur une caisse en bois, défit les bretelles de sa robe, et lascivement se déhancha pour faire glisser cette robe si étroite sur son corps. En un instant elle apparut nue, devant les yeux ébahis des quatre ouailles de son pasteur de mari. Ils n’osaient pas croire à ce spectacle idyllique, et les yeux fixés, qui sur les seins splendides d’Anne, qui sur la petite toison de blonde de “sa chatte chauffée à blanc”, ne savaient pas vraiment quoi faire ensuite. Certes ils ne s’étaient pas attendus, après un sermon vigoureux de leur pasteur par procuration, sur la Damnation Éternelle et le Péché de l’Âme humaine, à assister au strip-tease de sa délicieuse et respectable femme, et la voir dans le plus simple élément, offerte à leurs penchants les plus libidineux ! Mais voilà, des décennies de religiosité castratrice et de respect incontournable des Saintes Écritures, les empêchaient de faire quoi que ce soit à la femme à poil de leur pasteur. Maurice ...
    ... prenait déjà des clichés instantanés de la nudité libidineuse de son épouse, dévoilée à ces hommes, qu’elle et lui fréquentaient au temple parfois depuis plus d’une décennie. Cet aspect excitait encore plus Anne: se faire baiser par des membres de la petite communauté protestante, la plupart mariés, à part le jeune Michel, toujours vierge à 31 ans, dans le temple même... la rupture de cet interdit l’amenait déjà presque au bord de l’orgasme ! “ Eh bien Messieurs, je ne vous plais pas ? Vous hésitez à cause de Maurice ? C’est pourtant lui qui vous prie avec insistance de me prendre tous les quatre ! Lâchez-vous, mon mari vous absoudra ensuite de tous vos péchés... et pensez que comme il vous l’a expliqué, je suis le jouet d’hommes sans foi ni loi, qui, si l’acte sexuel n’est pas prodigué par vos soins, pourraient m’ordonner de me donner à des êtres remplis de luxure. Vous ne voudriez pas que la femme de votre pasteur soit la proie des jeunes de la banlieue d’à côté ? Tout ça, parce que des principes stupides vous auraient empêchés de m’honorer ? Me baiser tous les quatre, sous les yeux de mon mari doit être considéré comme un acte pieux... une sorte d’acte de charité. Voudriez-vous qu’à cause de votre manquement, je me retrouve telle une catin, offerte aux pires perversions de jeunes délinquants ? Mais je sens que je vais prendre les choses en main !” Et Anne descendit de sa caisse, pour se retrouver nue, entre les quatre hommes immobiles, mais qui commençaient à furieusement ...
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