Ma drole de famille (10)
Datte: 17/11/2019,
Catégories:
Lesbienne
Une demi-heure plus tard, la famille arrive. Elisa prépare le thé et tout le monde s’installe à côté de la piscine pour le prendre. L’après-midi s’achève doucement, certains se baignent, moi, je reste allongé sur un transat. Je remarque qu’Henri ne me quitte pas des yeux. Il lit une revue agricole, mais ses yeux sont souvent dirigés vers mon pubis, bien moulé dans mon petit short. Je lis moi-même une revue et me bouge de temps en temps de manière à bien lui exposer le maximum de mon corps. Je sais, pour l’avoir vu en maillot de bain, qu’il est aussi bien monté que son fils, et je dois dire que ça ne me déplairais pas de faire une petite expérience avec lui. Elisa est en maillot de bain deux pièces pas très enveloppantes. Je réalise que ma sœur est une très belle femme de plus de quarante ans. Son corps est toujours fin, sa poitrine généreuse, et ses fesses très appétissantes. J’aime ce genre de femme, et je me surprends à rêver d’une petite partie à nous trois. J’ai le sentiment qu’Henri ne serait pas contre, mais cela dépend de leurs rapports. La journée s’achève par un très bon repas, préparé par les filles. Elisa n’a pratiquement pas bougé de son transat, comme moi, elle a passé son temps à feuilleter une revue. Je suis épuisée par la séance de cette journée que je décide d’aller me coucher vers vingt-deux heures. J’embrasse tout le monde et monte dans ma chambre. Une douche vite fait et direct au lit. Je m’endors très rapidement. Le lendemain matin, je vais au rendez-vous ...
... fixé à neuf heures. J’enfile une robe courte, rouge unie, boutonnée devant en laissant les deux derniers boutons du bas ouverts. Evidemment, je suis nue dessous, je ne veux pas perdre de temps avec elle. Quand j’arrive en bas de l’immeuble, je tombe sur la jeune femme qui descend de voiture. Elle est vêtue d’une minirobe très courte, assez moulante, avec un magnifique décolleté plongeant au milieu de ses seins. Elle est zippée sur le côté, mais pas jusqu’en bas, laissant apparaitre une très belle jambe. Il n’y a aucuns doutes sur le fait qu’elle soit absolument nue dessous. –Bonjour madame. –On ne va pas continuer comme ça, moi c’est Laure, et toi ? –Sophie, on y va ? –Ok, je te suis. Nous montons dans l’ascenseur et elle appui sur le bouton du dernier étage. L’ascenseur s’ébranle à peine qu’elle lâche sa mallette et se jette sur moi, me plaque contre la paroi et m’embrasse passionnément. Ses mains se glissent sous ma robe pour la remonter et parcourir mon corps. Elle constate que je suis nue sous mes vêtements. –Je vois que tu as bien anticipé ce qui allait arriver. –Comme tu vois. Je glisse moi aussi mes mains sous sa robe en la remontant et les posent sur des fesses rondes et bien fermes. –A priori, je ne suis pas la seule. L’ascenseur arrive à l’étage très vite, les portes s’ouvrent alors que nous sommes toujours enlacées à nous embrasser et que nous avons toutes les deux nos robes remontées jusqu’à la ceinture. Elle s’écarte un peu, se retourne, constate que nous sommes ...