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Isabelle, grosse et petite mais belle (7)
Datte: 18/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... un ventre plat, et une chatte avec des lèvres énormes. Bref bien sous tous rapports. — Je vais me baigner, dit-elle, vous venez les filles ? Sans attendre, Isa et Lili la suive. Jean et moi plantons le parasol et installons nos serviettes. On rejoint les donzelles. Isa est accrochée au dos de mon épouse. Elle bécote son cou. Nous rigolons du tableau qu’elle nous offre. Jean part nager. C’est un ancien légionnaire, nous dit sa femme. Elle s’approche de moi. — Vous avez une belle queue, Monsieur. — Merci mais moi c’est Hervé. — Si nous remontions sur nos serviettes. Laissons les filles tranquilles. Je la suis. Elle s’allonge sur le côté. Je m’essuie et m’allonge sur le dos. Elle me complimente sur ma bite, que ma femme doit être la plus heureuse des femmes. Je lui explique mes problèmes avec mon épouse et les raisons de notre venue. Jean réapparaît. Il me demande de les suivre pour préparer le pique-nique de ce midi. Je préviens ma femme et Isa et je suis les deux « vieux ». Sa femme nous devance. — Elle à pas un beau cul ma femme ? — Euh... — Ne fais pas ton timide. Vu comment tu bande, elle t’attire. — Puis-je être franc avec toi ? — Oui vas-y. -Ces ses seins et son sexe qui me font bander. — Ô, c’est qu’elle en a vue passer des bites et autres objet.... Me répond-il en me tapotant l’épaule. En arrivant au mobilhome, il me fait la visite. On entre dans un grand auvent rigide où se trouve la cuisine, un salon avec télé, lecteur DVD et ordinateur. Il me précède pour entrer ...
... dans la grande caravane. C’est décoré avec soin. Un rideau léger sépare un autre salon de la chambre. Un WC et une salle de bain avec douche complètent l’équipement. — Bon corvée vaisselle et lavage des légumes... me dit-il en me faisant un clin d’œil. Il est vrai qu’il aurait pu faire ça ici. Il part en tirant une charrette vers les blocs sanitaires. Éva est occupée à prendre les boissons dans le frigidaire et de les mettre dans une glacière. Elle est accroupie, s’acharnant sur un pack de bières récalcitrant. Il fait une chaleur étouffante. Je transpire. Je suis à un mettre d’elle et quand elle se retourne, elle est à auteur de ma verge bandée comme un arc. Elle me fait signe d’approcher en refermant la porte du frigo. Elle s’assoie sur la glacière, jambes largement écartées. De ses petites mains, elle me soupèse les couilles. Elle me les malaxe en me regardant droit dans les yeux. Elle sort la langue et récupère la petite perle qui s’est formée au bout de mon gland. Elle serre mon viêt en remontant lentement et se délecte de ce nectar. — Dommage qu’il m’est interdit de baiser avant ce soir. Jean me l’interdit. Et oui, je n’ai plus l’endurance de mes vingt ans. Mais sucer, ne m’est pas interdit. C’est avec passion qu’elle me gobe la bite. Elle joue avec sa langue sur toute la longueur. C’est une pro de la turlute. Elle me lèche les couilles. Elle me les gobe une à une, puis les deux ensembles. Je me crispe, elle me sourit. Elle va lentement en me soutenant du regard. Ses joues ...