1. Réconfort et vieilles dentelles V. La pharmacienne. (3)


    Datte: 19/11/2019, Catégories: Hétéro

    ... blonds, son cou, ses épaules douces. Pas de doute, elle y mettait tout son cœur ; elle arrondissait sa bouche au maximum, faisait ressortir ses lèvres. A l’intérieur, sa bouche était soyeuse, sa langue faisait des merveilles. Moi qui ne suis pas très sensible aux caresses buccales d’habitude, je sentais que ses efforts et son zèle produisaient son effet : mon plaisir montait lentement mais sûrement. Je me mis à soupirer. Elle leva ses jolis yeux clairs vers moi, je vis comme un sourire de contentement dans son regard. Ah, elle pouvait être fière, ma bonne petite élève, ma petite pharmacienne. Je caressai ses joues et me retirai lentement de sa bouche. Et je lui intimai doucement mais fermement : " - Allez, en position. Sur le lit, à quatre pattes, les genoux près du bord, le cul tourné par ici !" Elle me regarda d’un air troublé, elle était très rouge, mais elle s’installa sans discuter. " - Et on écarte les cuisses. Ça n’est plus la peine de jouer les femmes honnêtes, les pudiques. Vous êtes bien venue pour vous faire baiser, vous ne l’avez même pas nié. Hum, quel délicieux spectacle ! Vous savez que vous êtes plus que bandante comme ça, ma petite pharmacienne. Vous avez des belles cuisses, et une vulve qui donne envie. J’aime vous voir ainsi prête, prête pour la saillie, avec vos délicieux petits nichons en obus, prêts à être pressés." Et pour bien illustrer mon propos, je couvris de caresses passionnées son beau petit cul, je palpai avec contentement ses petits seins qui ...
    ... n’attendaient comme des poires que des mains pour les cueillir. Je caressai un peu ses cuisses, puis lui entrouvrant les fesses ma langue descendit dans ce sillon intime où je léchai avec application quelques secondes le petit cratère secret, ma langue glissant ensuite jusqu’à la fleur ouverte, comme si son goût m’avait manqué, ou que je voulais vérifier qu’il n’avait pas changé depuis cinq minutes. En tout cas, elle était toujours aussi trempée. Me positionnant debout juste derrière elle, je lui fis fléchir davantage sa croupe vers moi jusqu’à ce mon nœud soit juste en face de la cible. Alors, lentement, je l’enfilai avec gourmandise. Elle m’accueillit avec un soupir de plaisir. Son fourreau était tout lisse et brûlant comme l’enfer. Je m’arrêtai en butée tout au fond de son ventre, puis coulissai en arrière, presque jusqu’à ressortir, et repartis en avant. A un rythme lent je la besognai, savourant la sensation de sa chatte exquise et de la possession nouvelle. Elle soupirait, gémissant de plus en plus fort, m’encourageant à accélérer, mais je n’étais pas pressé. " - J’ai envie de prendre mon temps, petite chatte. Je vais te baiser longtemps, je vais te travailler au corps, je vais te fourrer ton petit cul, je vais te limer jusqu’à ce que tu demandes grâce. T’inquiète pas, j’ai beaucoup baisé ces derniers temps, et je suis plutôt endurant. Tu vas t’en prendre plein ta connasse." Tout en la bourrant délicatement et avec la même lenteur, je lui saisis ses petits roploplos et ...