1. La vie de château


    Datte: 19/11/2019, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, campagne, fête, soubrette, cérébral, Oral confession,

    ... attouchements ancillaires. Heureusement, Charlotte, dont je redoute l’impitoyable humeur, est concentrée sur les explications emphatiques sur l’intérêt pour sa famille de prendre une participation dans une nouvelle revue,Nature, qu’elle s’apprête à lancer. J’achève la journée sur les rotules et ne retrouve la paix et la sérénité qu’une fois dans mon lit, dont j’ai dû prestement changer les draps souillés de nos ébats coupables. oooooooooooooo Ma vie routinière de femme de chambre a repris son cours. Deux mois déjà se sont écoulés depuis ma folle nuit où je me suis abandonnée dans les bras de Jérôme, puis de Christian. Deux choses ont cependant changé au haras depuis cet évènement. D’abord, il règne une fébrilité croissante au domaine avec l’approche de l’ouverture de la chasse. Mais surtout, les fins de semaines, j’ai droit à la visite nocturne dans ma chambre de l’un ou l’autre des jumeaux, qui ont réalisé avec ravissement combien ma trop grande soif de sensualité me livrait à leurs soifs de jeunes mâles et me pousse à accepter de leur livrer mon corps de femme sans retenue aucune. Ils en usent, en abusent, et les seuls regrets qui m’habitent portent sur l’isolation phonique insuffisante de ma petite chambre de bonne, et surtout sur l’étroitesse du lit qui accueille nos ébats et qui restreint d’office mes envies de figures érotiques constamment renouvelées. J’ai même une fois rêvé qu’ils me prenaient ensemble sur le lit de Madame ! Madame que j’ai surprise à nouveau – par ...
    ... deux fois – gémissante et soumise, dans les bras de son palefrenier, totalement dépouillée de son autoritarisme habituel. Quand je pense qu’elle avait insisté sur la nécessairemoralité de son personnel de maison ! Ce soir, mes patrons reçoivent une dizaine d’invités, et Louise a préparé un dîner d’exception. À cette occasion, Madame m’a fourni une nouvelle tenue, une petite robe noire avec un napperon brodé blanc. Plus courte que mes jupes, elle a un décolleté en carré assez audacieux. J’ai l’impression de ressembler à une poupée ainsi, archétype de la petite bonne provinciale, et j’ai droit à plusieurs regards appuyés de convives masculins pendant mon service. J’ai hâte que celui-ci s’achève, car Madame part demain pour cinq jours et je n’aurai que Monsieur à servir jusqu’à vendredi, ce qui se traduit pour moi par une charge de travail bien plus légère. Je finis tard, vers une heure du matin. Harassée, je me dirige vers la salle de bain pour une douche délassante. Au moment d’en fermer la porte, je sens une poussée, et Milan, le maître de manège et amant de Madame, se glisse dans la pièce. Le regard de pervers qu’il me jette m’indique sans ambages quelles sont ses intentions à mon égard ! — Alors, Élodie, on déniaise les garçons ? J’imagine la réaction de madame de Beautemps si elle l’apprenait ! J’ai envie de lui répondre que Monsieur ne serait peut-être pas, lui aussi, sans réaction s’il apprenait sa coupable liaison avec son épouse, mais ma réponse se bloque dans ma gorge, ...
«12...101112...15»