1. L'homme de la taverne (1)


    Datte: 24/06/2017, Catégories: Erotique,

    Dans notre cité ardente (Liège), il y a une taverne bien connue pour y faire des rencontres.Un soir de septembre 2010, ma coquine (et moi, mais pas en couple) s’y est rendue afin de voir si il lui était possible de "lever" un partenaire à son goût. Précisions sur son goût: âgé de 60 ans et plus, pas trop mince. Comme pour toutes rencontres de ce style, nous ne savions pas si elle pourrait le ramener chez nous afin que je sois voyeur ou participant. Même si à ces âges-là ils sont plus ouverts, tous ne veulent pas de la présence du mari (gêne, peur, trac, ...). Par 2 fois, le mois précédent, nous nous y étions rendus et elle était restée bredouille. Rien que des jeunots entre +_ 40 et 55 ans qui ne lui avaient pas ouvert l’appétit. Allait-on avoir plus de chance ce soir-là ? Nous l’espérions fortement car depuis plusieurs semaines nous n’avions plus "libertiné". Il faisait doux, presque trop chaud pour la saison. Elle avait longtemps hésité à se décider si elle mettrait des bas nylon ou pas vu la presque canicule qu’il faisait. Finalement elle avait opté pour des jambes nues, même si c’est moins sexy. Donc, lorsque nous avons quitté notre domicile, elle portait sur elle: une petite jupe à volants de +_ 37 cm, un haut à décolleté plongeant, un string noir en nylon transparent également et une paire d’escarpins de 11 cm. Rien d’autre si ce n’est son petit sac. Arrivés au parking souterrain tout proche, elle est restée dans la voiture tandis que je me suis directement rendu ...
    ... directement à la taverne. 5 minutes plus tard c’est elle qui y faisait son entrée. Et je vous assure que son "entrée" a été remarquée !! Elle s’est prise un talon dans la petite grille devant la porte et s’est presque retrouvée étendue sur le carrelage. Ce n’était pas voulu, mais cela a donné matière à un client pour venir la secourir. De mon côté je pouffais intérieurement, on aurait dit une comédie avec Pierre Richard. N’empêche que la chance semblait avec elle, parmi la quinzaine de clients présents, seul son sauveteur avait la bonne soixantaine (nous avons su par la suite qu’il en avait 68). Elle le remercia et alla s’asseoir à une table située à moins de 2 mètres du comptoir. Comptoir où son "zorro" était accoudé. Elle commanda un mojito et quand le serveur le lui apporta il lui dit que "le monsieur au comptoir vous l’offre". Elle leva son verre et, en regardant l’homme, le remercia. Faisant mine de surfer sur son téléphone portable, elle s’arrangea pour titiller l’homme. Croisement et décroisement de jambes, écartement discret des cuisses, auto-caresses sur l’une d’elles. Bref, de quoi mettre en émotion tout homme qui se respecte. Et le résultat fut là !!!!! L’homme se dirigea vers elle et lui demanda si il pouvait s’asseoir à sa table. Elle accepta et il prit place. Mais pas n’importe quelle place ! Pas face à elle, mais à côté d’elle. D’où j’étais j’avais une vue imprenable sur eux, que ce soit au-dessus ou en-dessous de la table. Je les voyais discuter et rire, mais je ne ...
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