1. Histoire alternative (3)


    Datte: 21/11/2019, Catégories: Transexuels

    ... poils. Il faudrait que tu les rases… Et le visage aussi, faut que tu sois nickel. — Tu veux dire ici ? Et maintenant ? Mais j’ai rien pour… — Passes sous la douche, je te prête un rasoir, répond t-elle avec un grand sourire. Je commence à trouver la chose moins drôle. Mais je me suis engagé, j’irai jusqu’au bout ! Sous les yeux intéressés de Julie, je m’applique à mettre ma peau lisse des chevilles jusqu’à l’aine. Je me rase aussi soigneusement le visage. Julie corrige mes oublis, jusqu’à ce qu’elle soit satisfaite du résultat. Assez incrédule, je regarde le résultat et éprouve un sentiment bizarre quand je passe ma main sur ma peau lisse de tout poil. Étrange sensation, j’ai l’impression de toucher une peau de fille… La culotte qu’elle me tend n’est pas très grande. Il manque même pas mal de tissu. Je l’enfile en frissonnant, la sensation est tellement inhabituelle… Et puis j’ai quasiment les fesses à l’air. Puis c’est le soutien-gorge… Et là, il faut que Julie m’aide à le boucler parce que c’est complètement impossible pour moi ! Elle l’ajuste, çà me serre un peu… Comment font les filles pour supporter ce truc en permanence ? Mais il y a beaucoup de vide ! Mais Julie a tout prévu et je regarde incrédule les faux seins qu’elle glisse dans les bonnets et qui me donne une silhouette qui me laisse pantois. Vient le tour de la jupe… Je l’enfile sans problème. Là encore Julie ajuste une ceinture et je découvre que les grands écarts de jambes me sont interdits, elle est serrée ! ...
    ... Il va falloir que je fasse des pas plus petits que ce que j’ai l’habitude de faire… Enfin le chemisier. Julie à le coup d’œil. Tout me va presque à la perfection. On a un peu la même taille, çà aide. Mais plus je me regarde… et plus je me trouve godiche ! La touche finale. Elle pose me pose la perruque sur la tète, l’ajuste et met quelques coups de brosse légère. Je suis troublé. Je n’ai jamais porté de cheveux longs et je regarde à droite et à gauche les mèches de cheveux qui ondulent sur mes épaules. Mais Julie semble troublée également. Il doit se passer quelque chose qu’elle n’avait pas prévu . Tout indique que le scénario qu’elle avait prévu dans sa tète est en train de changer à cause du petit jeu qu’elle fait. — C’est étonnant, me dit-elle. Tu es vraiment très belle, tu es vraiment faite pour être en fille. Attend ! Il me vient une idée. On va voir jusqu’où on peut aller. Assied toi sur ce tabouret. Moi belle ? Il m’a parlé au féminin ! Faudrait pas déconner quand même ! Étonné s’il en est par la tournure prise par les événements, je la vois ouvrir une vanity ou se mélangent pèle-mèle différents accessoires de maquillage ! — Tu vas me maquiller ? — Juste ce qu’il faut ma belle, t’inquiète pas et laisse moi faire. Au point ou j’en suis. Je me laisse faire… En un peu plus d’un quart d’heure, elle m’applique du fond de teint, du rouge à lèvre et d’autres trucs qui me sont complètement étrangers : mascara, anti-cerne, poudre de perlimpinpin et j’en passe… Elle me fait çà ...
«1234...»