La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 687)
Datte: 21/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... plaisir inouï. Il était dans l’acceptation et la bienveillance, sa logique masochiste l’emmenait à prendre ce qui lui était donné, et au-delà embrassait pleinement et sans réserve ce qu’il recevait, fut-ce la douleur ! Endymion MDE avait compris qu’accepter n’était pas de se sentir mieux, mais bien de s’ouvrir à la vitalité du moment, et d’agir de façon plus efficace dans les directives et les obligations qu’il recevait. Pour lui, il se devait de traverser les marécages de son histoire personnelle car ceux-ci se trouvaient dans la direction de là où il voulait aller. Bref, il avait trouvé son bonheur sublimé, sa raison jubilatoire et enivrante d’être et si heureux d’être ce qu’il était devenu… Monsieur Julien et Mademoiselle Lucie avait bien compris qu’ils avaient à faire à un esclave un peu particulier, tenace, endurant, volontaire, exprimant sa soif de soumission et d’obéissance fut-ce dans la contrainte et la douleur physique. Alors tous deux poursuivirent l’expérience, testèrent plus encore les capacités de cet Endymion MDE. Ils voulaient savoir jusqu’où ils pouvaient l’asservir, le ridiculiser et voulait voir où étaient ses propres limites. Mademoiselle Lucie avait pris deux planchettes, reliées entre elles par quatre vis. Elle plaça les couilles de ce chien soumis entre elle et commença à serrer lentement, doucement… - Mais quelle putain, une vraie salope ! Lançait Monsieur Julien… La queue de l’esclave MDE s’était redressée telle une mécanique, un peu plus à chaque ...
... fois qu’un tour de vis était donné pour comprimer plus encore ses burnes, un peu comme s’il y avait un lien de cause à effet, entre la pression exercée sur ses testicules et sa bite. - Avance catin, marche en te tenant bien droit, mains sur la tête, fais le tour de la pièce ! Endymion MDE, visage crispé par la douleur faisait les cents pas autour de la pièce. Ces lourdes planchettes tiraient et tiraillaient son scrotum. A chaque pas, celles-ci se heurtaient contre ses cuisses, les poussaient vers l’avant, lui provoquant des sensations terriblement lancinantes, obsédantes, presque odieuses et pourtant… Pourtant il bandait comme un âne en rut. Plus haut, dans les étages de cette Auguste Demeure, Monsieur le Marquis d’Evans regardait ce beau corps frissonnant et nu, alangui près de lui. David dormait paisiblement, une main derrière la tête, l’autre posée sur son abdomen. Sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration calme. Le Maître aimait ce corps, ce fin duvet entourant ces petits tétons, ce sexe amolli et encore décalotté, posé sur ce pubis peu poilu, ces jambes restées entrouvertes, ces cuisses à peine velues. Il était de toute beauté. Contempler David, l’excitait. Sa Noble queue s’était tendue, elle arborait fièrement une virilité incroyable, Lui donnant presque envie de se caresser. Il y renonça préférant remonter le drap froissé tout contre le corps de son amant. Plus bas, les choses allaient de mal en pis, l’esclave MDE avec moult difficultés s’était, sur ordre, mis ...