1. Sophie et Laurence (5)


    Datte: 21/11/2019, Catégories: Lesbienne

    ... descend doucement sur cette gaine, d’où Max commence à sortir le bout rouge de sa bite. Instantanément, l’image d’un bâton de rouge à lèvres me vient à l’esprit, Poppy s’écarte de la table pour me faire venir devant elle, et se colle contre mon dos. — Tiens, prends la tondeuse et vas-y doucement comme j’ai fait. N’aie pas peur, tu ne peux pas le blesser. Je répète doucement les gestes que je venais d’apprendre, tandis que les doigts de ma prof passent sur le bout déjà bien sorti de Max, elle le gratifie de quelques mouvements de va-et-vient ; presque tout de suite la bite double de longueur, sous les doigts rendus gluants et brillants par cet attouchement. Son autre main, quant à elle, est occupée à me caresser la hanche, tout en glissant parfois vers le pli de l’aine, je sens son pubis collé contre mes fesses. — Tu vois comme il aime ton gros toutou ? Oui, continue vas-y, rase-le bien, oui comme ça ! Dis-moi, si tu cherches un job d’été, je t’embauche, dit-elle en riant ! Puis elle me pose un, puis deux petits baisers dans le cou, j’adore cette douce séduction à l’issue déjà connue. Quittant la queue, sa main prend la mienne et la pose à la place, que la sienne occupait juste avant, referme mes doigts autour de ce membre passablement gonflé. C’est la première fois que je prends ça en main, et mon esprit fait tout de suite la comparaison avec les membres humains que j’avais “fréquentés” avant Sophie. C’est agréable, un peu collant et gluant, mais pas repoussant. Poppy, ...
    ... dont la main était remontée doucement, en me caressant, empaume maintenant mon sein gauche, ne pouvant ignorer l’état de mon aréole gonflée, et de mon téton déjà dur. Poppy défait deux boutons et abandonne le gauche pour le droit, qu’elle se met à caresser à même la peau, ayant glissé ses doigts sous le fin tissu de ma robe, tout en bougeant doucement son bassin collé à mes fesses. C’est une vraie experte. — Oh Poppy, tu as un doctorat en câlins ?” dis-je en riant. Je tourne ma tête vers son visage, et trouve sa bouche déjà offerte pour mes lèvres gourmandes, nos langues font tendrement connaissance, explorant chaque recoin de nos bouches avides ; notre premier baiser fut un vrai délice. — Tu embrasses super bien, Laurence. Le compliment venant d’une femme d’expérience, ça fait très plaisir. J’ai maintenant entièrement rasé le fourreau, et posé la tondeuse, elle prend ma main et la pose tout comme l’autre, sur la bite de Max, qui avait encore grandi, et que je branle seule à présent. — Regarde comme tu le fais grossir, il adore, tu te débrouilles super bien ! C’est ta première fois ? — Ah oui, avec un chien c’est la première fois ! “ Tout en prononçant ces paroles, un frisson me traverse, prenant conscience de ce que je suis en train de faire. Elle le sent et plaque ses mains sur les miennes. — Non continue Laurence ! Vas-y n’arrête pas ! Tu sens à la base la boule qui grossit, c’est un verrou qui bloque sa femelle, quand il se vide en elle. Ensuite ils restent soudés environ ...