1. Une période extraordinaire en trois parties


    Datte: 22/11/2019, Catégories: f, fh, ff, ffh, intermast, Oral pénétratio, collection, BDSM / Fétichisme

    ... les ambiances de gare ou d’aéroport. Tous ces gens qui vont, et viennent, certains pressés, d’autres qui flânent en attendant leur train ou leur avion, disponibles, exilés de leurs habitudes. Je ne sais pas pourquoi, mais l’ambiance des gares et autres lieux de transit m’a toujours terriblement excitée. Comme si c’était un espace où tout est permis, où tout est possible, où des relations aussi intenses qu’éphémères peuvent se nouer facilement. En me masturbant, j’ai souvent fantasmé de faire l’amour debout, dans un recoin d’une gare, presque au vu des passants, avec un inconnu dont je ne connais même pas le prénom, mais qui, superbement raide, s’enfonce en moi, toute cambrée pour mieux m’offrir par-derrière. Je garde les jambes serrées pour mieux sentir le moment délicieux où il s’impose, où il me force, et le frottement de sa bite qui glisse en moi. Assez vite, il me donne toute sa sauce blanche tandis que je l’inonde moi aussi de mes sécrétions, en retenant mes cris. Un instant plus tard, il se perd dans la foule, et plein d’autres se présentent, se coulent en moi aussi furtivement que puissamment et délicieusement, moi qui suis si mouillée pour les accueillir, mouillée de moi-même et de tous les spermes engrangés au fond de moi. Quand bien cambrée, j’ai ainsi reçu aux creux de moi accessibles par l’arrière, plusieurs beaux gaillards aux visages vagues, mais dont les bites sont merveilleusement fermes, actives et vigoureuses, je sens mon ventre et l’intérieur de mes ...
    ... cuisses tout huileux de leur sperme, en imagination seulement, hélas ! Des fois, je fantasme que j’offre mes arrières disponibles à des bites complètement anonymes, je ne sais pas s’ils sont jeunes ou vieux, beaux ou laids, tout ce qui compte, c’est qu’ils soient fermes et décidés, qu’ils se ruent en moi de toute leur force, qu’ils me secouent dans un rythme d’enfer, et qu’ils m’envoient enfin les puissantes giclées qui remontent de leurs couilles durcies par leur désir, pour jaillir au tréfonds de moi, comme un ultime prolongement de leurs queues si bonnes, si puissantes, si généreuses. Je flâne dans la gare, je m’imprègne de l’ambiance. Je suis très excitée, mais mes lunettes noires dissimulent mes désirs lubriques, et je peux regarder l’entrejambes des mecs en toute discrétion. J’en vois qui me semblent vraiment intéressants, avec des volumes conséquents et, je le devine, du poids. Alors seulement, je regarde leur visage pour voir s’ils sont beaux, ce qui alors ajoute encore à mon plaisir et à mon désir. J’entre dans une maison de presse, et feuillette un magazine féminin. Je le prends, et vais vers un autre rayon, en haut, où sont les revues pornos. J’en prends une pour gays, la feuillette rapidement pour vérifier qu’on y voit de beaux mecs à poils, aux poitrails superbes, avec d’énormes machins bien raides en haut de leurs cuisses musclées. Je la garde aussi. J’en choisis une autre encore où on voit de superbes filles bien exposées sur toutes les coutures, et aussi des couples ...
«12...111213...17»